La crainte de Yahuwah est le commencement de la sagesse
Il n’est pas besoin de chercher loin pour définir la nature fondamentale de la science.
À travers les paroles d’Élohim, nous obtenons une image très précise de ce que représente le concept originel de science. C’est d’ailleurs ce que le Nouveau Testament confirme. De plus, les branches concrètes et tangibles des sciences humaines, telles que la biologie, la chimie et la physique, en sont également des témoins.
Nous pouvons découvrir la publication scientifique la plus concrète et la plus profonde jamais rédigée au monde de la plume de l’homme le plus sage ayant jamais existé : le roi Salomon. Cette sagesse est formulée dans le livre des Proverbes comme nous allons le voir en ce qui suit.
Le monde créé en témoigne
Particulièrement à partir du chapitre 8, nous découvrons des révélations profondes sur la nature de la science, un terme intimement lié à la connaissance et à la sagesse elle-même. Je recommande vivement au lecteur de parcourir l’intégralité du chapitre afin de saisir pleinement l’image de la sagesse personnifiée qui y est présentée.
La sagesse ne crie-t-elle pas? L’intelligence n’élève-t-elle pas sa voix? C’est au sommet des hauteurs près de la route, C’est à la croisée des chemins qu’elle se place; côté des portes, à l’entrée de la ville, A l’intérieur des portes, elle fait entendre ses cris: Hommes, c’est à vous que je crie, Et ma voix s’adresse aux fils de l’homme. Stupides, apprenez le discernement; Insensés, apprenez l’intelligence. Écoutez, car j’ai de grandes choses à dire, Et mes lèvres s’ouvrent pour enseigner ce qui est droit. Proverbes 8:1-6
La personnification de la sagesse nous indique qu’elle est intrinsèquement présente partout où nous tournons notre regard. L’observation du monde créé témoigne fondamentalement du pouvoir et de la sagesse infinie d’Élohim.
Les sciences laïques en témoignent
Nous lisons des choses similaires par la plume d’un autre grand sage ultérieur :
…car ce qu’on peut connaître de Elohim est manifeste pour eux, Elohim le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Elohim, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages… Romains 1:19-20
Sur la base des recherches en physique quantique, on sait que le monde est constitué de minuscules cordes vibrantes, infiniment plus petites que les atomes.
Préférez mes instructions à l’argent, Et la science à l’or le plus précieux; Car la sagesse vaut mieux que les perles, Elle a plus de valeur que tous les objets de prix. Moi, la sagesse, j’ai pour demeure le discernement, Et je possède la science de la réflexion. Proverbes 8:10-12
Il a donné naissance à toutes choses à travers la Parole d’Élohim, Sa Parole, qui est Yahushua. Tout être vivant existe grâce à cela. Comme je l’ai mentionné précédemment au travers de mon article : YHWH est génétiquement codé en nous. J’y souligne le fait qu’au plus profond de chaque être vivant, réside le nom de Yahuwah, vibrant comme une symphonie ininterrompue au cœur de la substance même.
Tout s’est formé à partir de la Parole d’Élohim. Comme toute parole exprimée, cette Parole possède également une résonance qui n’a jamais cessé de se faire entendre depuis. Le phénomène connu sous le nom de rayonnement cosmique de fond en micro-ondes est en réalité une interprétation erronée, dans laquelle les échos et les répercussions du Big Bang, plutôt que celles du Créateur, sont censés être détectés à l’aide de certains dispositifs électroniques.
Yahushua HaMashiah est la Sagesse
Mon fruit est meilleur que l’or, que l’or pur, Et mon produit est préférable à l’argent. Je marche dans le chemin de la justice, Au milieu des sentiers de la droiture, Pour donner des biens à ceux qui m’aiment, Et pour remplir leurs trésors. Yahuwah m’a créée la première de ses œuvres, Avant ses œuvres les plus anciennes. J’ai été établie depuis l’éternité, Dès le commencement, avant l’origine de la terre. Je fus enfantée quand il n’y avait point d’abîmes, Point de sources chargées d’eaux; Avant que les montagnes soient affermies, Avant que les collines existent, je fus enfantée; Il n’avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussière du monde. Lorsqu’il disposa les cieux, j’étais là; Lorsqu’il traça un cercle à la surface de l’abîme, Lorsqu’il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l’abîme jaillirent avec force, Lorsqu’il donna une limite à la mer, Pour que les eaux n’en franchissent pas les bords, Lorsqu’il posa les fondements de la terre, J’étais à l’œuvre auprès de lui, Et je faisais tous les jours ses délices, Jouant sans cesse en sa présence. Proverbes 8:19-30
En utilisant des instruments scientifiques terrestres, nous sommes en mesure de discerner la signature et l’empreinte de l’Éternel dans l’univers créé.
Les lois physiques sont en parfaite harmonie avec les lois spirituelles, la Torah, et les deux ne peuvent être séparées.
Quiconque sépare les lois physiques des lois mosaïques, qui sont scellées et confirmées par le Messie, comme nous le lisons dans le Nouveau Testament, tire de ses observations et de ses examens des conclusions humaines et erronées.
Ici aussi, soyons doux/sages comme les colombes. Acceptons ce qui est acceptable des scientifiques certes athées, mais digne de porter le nom de scientifique et refusons toute autre mythologie pseudo-sciences appelé du nom de sciences naturelles. Mettons en évidence les vérités qui découlent des sciences opérationnelles (physique, chimie, biologie) et laissons de côté les faiseurs d’histoires tels les paléontologues et autres naturalistes dont les conclusions sont en grande partie basées sur des hypothèses plutôt que sur une véritable observation des phénomènes naturels.
Nous constaterons alors que les sciences authentiques, les sciences opérationnelles, confirment bel et bien les révélations bibliques.
Pour clore cet article, voici un avertissement qui n’est autre que la suite du verset précédent :
Et maintenant, mes fils, écoutez-moi, Et heureux ceux qui observent mes voies! Écoutez l’instruction, pour devenir sages, Ne la rejetez pas. Heureux l’homme qui m’écoute, Qui veille chaque jour à mes portes, Et qui en garde les poteaux! Car celui qui me trouve a trouvé la vie, Et il obtient la faveur de Yahuwah. Proverbes 8:32-35
En résumé et de manière concise, la véritable science, la connaissance de Yahuwah, consiste fondamentalement à accueillir l’Esprit du Créateur et créer en nous les conditions pour qu’Il puisse fonctionner librement au travers de notre personne.
Le Créateur quant-à-lui n’est autre que Celui par qui, en qui et pour qui le monde a été formé, la main droite du Père, Son pouvoir créatif, la Parole énoncée par Celui qui engendre : le Fils.
En acceptant l’Alliance avec le Fils, toute la connaissance du Père nous sera révélée progressivement de l’intérieur, depuis le plus profond de notre cœur et de notre esprit, par l’action de Ruach HaKodesh.
Voir également: SCIENCE et FOI : Amis ou Ennemis ?