J’ai récemment été contacté par un chrétien qui gère un site internet réunissant des liens vers des enseignements juifs messianiques. Il s’agit d’un chrétien très consciencieux qui ne souhaite en aucun cas publier des choses anti-bibliques. Connaissant les écritures présente sur notre site, il a confiance en nous et m’a demandé de vérifier la pureté des enseignements de certaines communautés juives messianiques. Il fait partie de ceux qui sentent que le temps est arrivé de quitter les racines pourries et revenir vers les sources originales de la Parole de Yahuwah.

En parcourant les sites, j’ai tout de suite identifié un problème grave et récurrent!

Bien qu’il s’agissait de communautés croyant en Yahushua et lisant le Nouveau Testament, l’enseignement de la majorité d’entre-eux était basé sur le judaïsme rabbinique. Au-delà de la Tora (pentateuque) et du Nouveau Testament, d’autres « livres saints » étaient listés de même. (le Talmud, la Mishna, la Guemarrah, etc…)

Que se passe-t-il exactement ?

Lorsque quelque chose démarre, lorsque l’accomplissement d’un prophétie s’engage, lorsque surgissent les signes indéniables de la greffe et de la greffe à nouveau, l’ennemi fait tout ce qui est en son pouvoir pour détourner les choses et pour falsifier l’original, afin de proposer une contrefaçon bien élaborée pour tromper un maximum de gens de bonne volonté et de bonne foi, en les entrainant vers la superficialité aux détriments de la teneur spirituelle.

Il est incapable de détruire le projet du Tout Puissant, mais il est en mesure de le faire retarder et de tromper un grand nombre de personnes.

Tu es là, au beau milieu du désert, à peine sorti de ton Égypte, au bord de la déshydratation, tel les enseignements porteurs de vie manquent dans les milieux chrétiens, tu démarres vers la source afin de t’abreuver et satan t’asperge de cette fine pluie – ce crachin comme on dit dans le nord – qu’est la superficialité de certaines pratiques religieuses, afin que tu ne ressentes plus la soif et que tu n’atteignes pas la source. Tu mets le talith et la kipah, tu observes les fêtes juives et tu te sens mieux. Ainsi tu ne ressens même plus le besoin d’aller te rassasier à la source initiale et tu t’arrêtes en chemin. Tu retardes la rencontre avec le Messie, seule source apportant la vie, cette source allant du livre de la Genèse jusqu’à l’Apocalypse et que le peuple juif a reçu en premier.

Au-delà de l’utilisation superficielle d’ustensiles religieux ou pire, de l’adoption d’une identité fausse, un très grand problème se cache encore au sein de ces communautés dites « juives messianiques ».

Qu’est-ce que la racine juive ?

J’ai moi-même pendant longtemps considéré et proclamé que la racine juive n’est naturellement rien d’autre que l’Ancien Testament, dont la Torah, dont le noyau n’est autre que la Loi, les Commandements eux-mêmes. Et il en est réellement ainsi. Sauf qu’en soi et sous cette forme, tout ceci est totalement incomplet et inerte. Puis, après un certain temps, Ruach HaKodesh m’a ouvert les yeux sur le fait que la racine originelle sur laquelle les Grecs et les Juifs doivent être greffés selon la prophétie d’Ézéchiel 37 et de nombreuses autres prophéties, est celle qui s’est réalisée et qui est apparue à Shavouot. Ce fameux jour de la Pentecôte, lorsque l’Ancien et le Nouveau Testament sont entrés en vigueur en unité par l’action de Ruach HaKodesh lorsque tout le contenu de l’Ancien Testament a directement été gravés dans le cœur des disciples en tant que Parole Vivante, complète et indivisible.

La racine n’est donc pas la Torah ou le Tanakh en soi et selon la lettre, car ceux-ci n’étaient que l’ombre et la version écrites des choses à venir. La racine n’est autre que la Torah et le Tanakh Animés et Vivants, le Verbe fait chair (Yeshua HaMashiah) et plus précisément : lorsque les deux tablettes de pierre se sont transformées en doubles langues de feu et sont apparues au-dessus des têtes des disciples pour être gravées directement dans leurs cœurs.

La racine juive n’est donc pas la Torah, ni l’Ancien Testament, ni la Loi EN SOI, mais ce que ces dernière projetaient.

Les promesses qui apparaissent sur les tablettes de pierre, dans leur formulation originale en hébreu, sont écrites au temps du futur et non dans le mode impératif, c’est-à-dire qu’elles ne constituaient pas des interdictions. Ces Mitzvah ou Commandements sont des promesses selon lesquelles tu respecteras, tu aimeras, tu ne feras pas ceci ou cela de mal etc…car si tu nais de nouveau en moi (Yahushuah), c’est-à-dire que si j’entre dans ton cœur pour y demeurer, alors j’éradiquerai le péché jusque dans le germe de tes pensées par ma loi, c’est-à-dire par moi-même, par ma simple présence en toi. Tu ne désireras plus faire ce qui est mal, ce qui est démoniaque, voir simplement humain et charnel.

La racine commune dont nous Juifs Messianiques devons parler et annoncer est le Messie lui-même, dans le corps duquel nous sommes greffés par notre naissance à nouveau lorsque Ruach HaKodesh vient graver ses Commandements dans nos cœurs par le baptème de son Esprit.

La racine où nous devons tous retourner ne se trouve donc pas dans l’Ancien Testament, mais dans le livre des Actes des Apôtres. Voilà notre racine commune à tous. Ce point de rencontre, chacun peut la vivre personnellement à tout instant et à n’importe quel jour de l’année lorsqu’on se repent, s’immerge dans l’eau du baptème et qu’on se remplit de Ruach HaKodesh (du Saint Esprit).

Ainsi, notre point de rencontre, où convergent les deux branches entre les mains du Messie – Juda/Israël d’un côté et Éphraïm/Grecs de l’autre – est Shavuot (la Pentecôte) tel que cette événement nous est décrit dans le livre des Actes des Apôtres. Lorsqu’au-delà de la crucifixion, de la mort, de la résurrection et de l’ascension de Yeshua, il est nécessaire que nous recevions tous le Consolateur promis – son Esprit – qui est la clé de voûte de tout le processus de Rédemption et sans lequel notre naissance de nouveau, donc notre Salut, ne serait pas même possible.
Il s’agit littéralement de la clé de voûte de la Rédemption, la pierre ou la brique finale, le couronnement de tout le processus. Pour nous par contre, cette même clé de voûte est par la même occasion la pierre angulaire, c’est à dire la toute première pierre de notre propre personne en tant que temples du Saint-Esprit : le point de départ de nous-mêmes en tant que Nouvelles Créations.

L’Ancien Testament n’était que la promesse de ce dénouement. Notre racine commune et originelle, pour les Juifs et les Gentils, est l’accomplissement de cette fête de Shavuot, lorsque le Sanctuaire Ultime, le Corps du Messie, commence à être construit en nous par le même Esprit Saint.

Qu’est-ce que le judaïsme?

Mais revenons maintenant au judaïsme, le faux, le babylonien, puisque cet enseignement vous est donné en tant qu’avertissement, afin de vous dévoiler la tromperie qui se cache derrière. Car il ne s’agit de rien de moins que d’un poison mortel qui tente de se propager au sein de l’Église telle une mauvaise herbe destructrice qui a pour but de tuer les âmes et de les empêcher de trouver le chemin menant à la Racine Véritable.

Le judaïsme est un système de doctrine complexe dont la base est la Parole et la Loi de Yahuwah révélées sur le mont Sinaï. C’est sur cette base que reposent les théories des différents « rabbins » sur la manière de mieux observer la loi. Ils pensent que Moïse a reçu ces lois orales directement d’Elohim et qu’il n’a pas dû les écrire. C’est ce qu’ils appellent « la tradition orale » ou « la doctrine orale », et qui sont incluses dans la série d’ouvrages sous le nom de Talmud, de Mishna et de Guemara. Nous ne parlons ici de rien d’autre que du système juridique des Pharisiens de l’époque, contre lequel Yeshua HaMashiah lui-même s’est opposé lorsqu’il a affronté les principaux sacrificateurs :

Alors des pharisiens et des scribes vinrent de Jérusalem auprès de Yeshua, et dirent: Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens ? Car ils ne se lavent pas les mains, quand ils prennent leurs repas. Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Elohim au profit de votre tradition ?

Matthieu 15:1-3

Où, à quelle époque et comment le judaïsme s’est-t-il formé ?

Le premier exil de la tribu de Juda à Babylone a provoqué une grande rupture dans l’âme et l’esprit du peuple. Comme nous le savons, les 70 années d’exil babylonien étaient conséquence directe de la violation de la loi par le peuple. À la suite de cette tragédie, les chefs religieux, les rabbins – à l’époque ils étaient encore légitimement considérés en tant que tels – ont tenté de résoudre humainement le problème, afin qu’ils n’aient plus jamais à vivre ce genre de supplice à l’avenir. Suite à l’exil, non seulement aucune guérison spirituelle n’a eu lieu, mais l’éloignement du peuple par rapport à la Loi originelle n’a fait que se creuser davantage.

Les « sages d’Israël » d’alors ont en toute bonne foi, inventé toutes sortes de méthodes et de coutumes grâce auxquelles les lois de la Torah pourraient être observées plus facilement et rendues plus compréhensibles aux yeux du peuple. Ils ont voulu développer un système qui garantirait qu’ils ne violeraient plus la loi, afin de ne plus avoir à subir davantage d’exils.

C’est à ce moment-là que « la tradition orale » a vu le jour. Ce fameux système de lois et d’enseignements oral complémentaire à la Torah, qui se transmet de père en fils et qui n’a eu cesse de s’agrandir et se multiplier au fil des siècles, …précepte sur précepte, règle sur règle, un peu ici, un peu là…, comme l’annonçait l’un de nos grands prédécesseur du nom d’Esaïe – c’est exactement de ça qu’il parlait – et qui furent finalement consignées par écrit au cours du second et grand exil romain, dans la période du Moyen Âge.

Les chefs religieux ont réussi à faire accepter ces nouveaux préceptes au peuple en lui faisant croire que cet enseignement oral faisait partie de la révélation que Moïse reçut d’Elohim sur le mont Sinaï et qu’il n’avait pas dû écrire dans le Pentateuque, mais juste le transmettre de bouche à oreille et de génération à génération. Ils ont enseigné ce mensonge jusqu’à ce que s’éteigne la génération qui savait depuis sa naissance que de telles choses n’existaient pas à l’origine. Après deux ou trois générations nées en Terre Sainte suite au retour de l’exil de Babylone, il ne restait plus aucun témoin vivant pouvant attester du fait que ces traditions étaient nées à Babylone et qu’elles n’avaient rien à voir avec la Révélation au mont Sinaï.
Autrement dit, cette tradition orale est d’origine humaine et charnel. Il s’agit d’un système de commentaire et d’interprétation et de rallongement des lois originales d’Elohim. Ceci est la vérité fondamentale sur le judaïsme rabbinique, et il vaut la peine de garder cela à l’esprit lorsque quiconque aborde le sujet.

Cette extension de la loi n’est rien d’autre qu’une déformation de la loi, dont la conséquence directe est que la loi originelle est vue et interprétée de manière de plus en plus vague. Comme lorsqu’un voile de plus en plus épais se forme sur les yeux des personnes. C’est précisément ce voile qui a empêché le peuple élu de reconnaître en Yeshua la Loi c’est à dire la Parole qui s’est faite chair, lorsqu’Il ​​apparut devant eux. Pour cette raison, il l’ont livré à la mort conséquence de quoi, le Sanctuaire a été détruit 40 ans plus tard puis leur exil le plus long a commencé.

Leur plan n’a donc pas fonctionné. Non seulement ils n’ont pas pu empêcher de nouveaux exils, mais les nouveaux préceptes sont directement la cause de cet exil romain qui est beaucoup plus long que celui de Babylone. Par dessus tout, ces nouvelles doctrines sont surtout la cause directe et principale du rejet du Messie. Ils ont agit inconsciemment, puisque la cécité du peuple était causée par ses chefs religieux. Les dirigeants précédents en étaient responsables, puisqu’ils avaient inventé ce faux système, et leurs dirigeants contemporains en étaient également responsables, puisqu’ils maintenaient, cultivaient et exerçaient sur eux ce faux contrôle spirituel.

Le judaïsme comporte également des ouvrages qui ne développent pas uniquement les Commandements, mais le récit même de la Torah. Il existe une série d’ouvrages en particulier connus sous le nom de Midrash où ces mêmes  » grands sages  » ont été nous inventer à quoi devait ressembler la vie de nos patriarches en-dehors de ce que Elohim a bien voulu nous révéler à travers l’Ancien Testament. Un peu comme l’histoire légèrement idéalisée de Moïse tel que l’on nous la conte dans le film hollywoodien célèbre des années 50 intitulé :  » Les 10 Commandements « , afin de la rendre plus romanesque. Suite à la lecture et à l’étude continue de tels ouvrages, on fini par de moins en moins être capables de discerner l’original de la version littéraire et inventée.

Les récits bibliques se retrouvent ainsi dilués à tel point dans notre esprit que nous finissons par ne plus être en mesure de distinguer le vrai du faux.

Le même effet se produit lors de la lecture des livres dits apocryphes qui sans exceptions n’ont manifestement pas été inspirés par le même Esprit que les 66 livres canonisés de la Bible. Mais ceci fera l’objet d’un autre enseignement plus tard.
De façon très similaire, la série chrétienne de type midrash intitulée « The Chosen », devenue très à la mode aujourd’hui, où Yeshua outre le fait d’être dégradé à l’image d’une idole barbue du nom de jésus pour la énième fois sur le petit comme sur le grand écran, se permet aussi de dégrader et de diluer l’Évangile en le rallongeant, de sorte que dans l’esprit des chrétiens superficiels, qui sont enclins à regarder ce genre de sitcoms, le message de l’Évangile est littéralement éclaté et la personne devient ainsi encore plus incapable de le transmettre correctement.

Car que personne ne s’y méprenne ! Tout comme les juifs ont leur judaïsme, les païens devenus chrétiens ont eux aussi leur système de doctrines encore plus vaste et plus corrompu : le paganisme, dont la portée et la puissance destructrice sont bien plus grandes encore que le judaïsme, et contrairement auquel, pas le moindre effet positif ne peut y être répertorié.

Ce paganisme, comme je le nomme est en résumé toute la racine corrompue de l’église romaine avec toutes ses fausses théologies, fausses fêtes ainsi que ses idoles en tous genres et dont sont toujours très grandement infectées les courants protestants aussi néo-, et renouvelés puissent-ils se prétendre.

Voilà donc en résumé ce qu’est véritablement et essentiellement le judaïsme rabbinique, au cas où quelqu’un aurait encore des doutes sur l’identité véritable de la chose. De plus, à partir de maintenant, chacun peut décider du niveau d’intérêt qu’il manifestera à l’avenir, lorsqu’un « rabbin » des temps modernes ouvrira la bouche pour s’exprimer concernant un sujet quelconque. Car bien que beaucoup de choses soient encore pures et originales, il vaut mieux que chacun s’en tienne à l’écart en raison de leur esprit mixte. En tant que croyant en Yeshua, ne vas jamais rien écouter qui soit spirituellement mixte et ne vas pas non-plus fréquenter les synagogues – si tu n’es pas juif, tu n’as rien à faire dans ce genre d’endroits de toutes façons – et n’ingurgites rien qui ne soit pas en accord avec ton propre régime et que ton estomac est incapable de digérer – et surtout – qui n’aurait pas été préparer selon la recette originale.

En tant que nourriture spirituelle, le judaïsme est comparable, par exemple, à une bonne gaufre au chocolat sur laquelle, outre le sucre en poudre, une bonne grosse cuillère à soupe de vinaigre y aurait été ajouté. Si certains l’aiment ainsi car ils y ont été habitués dès leur plus jeune âge, qu’à cela ne tienne, qu’ils la consomment. De plus, comme je l’expliquerai dans un instant, ceux qui en sont imprégnés qu’ils continuent à en manger, cela leur permettra au moins de ne pas mourrir de faim avant la seconde venue du Messie. Pour le Juif qui est né là-dedans, le judaïsme est un gage préservant son identité juive jusqu’à ce que le Messie l’en libère lors de son retour. Mais toi qui n’est pas juif ou qui est juif n’étant pas né dans la tradition religieuse, n’en consomme pas ! Car dans le meilleur des cas, tu finirais par vomir. Inutile de s’y essayer.

A cause de la nourriture insipide et bon marché de tes faux rabbins chrétiens appelés pasteurs et autres enseignants en tous genres, ne vas pas te tourner vers les maîtres de cuisine juifs avec leurs plats trop cuits, trop lourds, trop gras donc complètement indigestes.

Ce sont précisément ces lois qui constituent le fameux voile dont parle Esaïe par lequel Yahuwah plaça son peuple en « quarantaine » pour un temps (car ils ont mis leur confiance en des lois humaines), afin d’ouvrir la porte vers les autres peuples ou nations.

En résumé le judaïsme est un poison antichrist pour ceux qui ne sont pas nés dedans, mais une bouée de sauvetage pour les juifs que menace 2000 ans d’exil avec tous les dangers d’assimilation que cela comporte.

Bouée de sauvetage pour les juifs / Poison mortel pour les autres !

Ceci est donc ce fameux judaïsme qui dans les mers agitées de l’histoire de l’Homme sert de bouée de sauvetage à tous ceux qui la portent déjà autour de l’abdomen, mais qui est une arme mortelle pour ceux qui coulent et qui depuis longtemps devraient savoir marcher sur l’eau ou minimum nager.

Car notre Maître est là devant nous et nous appelle constamment. Il souhaite que nous marchions sur l’eau et non que nous faisions les clowns avec nos bouées en tous genres.

N’oublions pas que les bouées de sauvetage étaient à l’origine faites de bois bien dur, qui une fois lancées vers les naufragés, pouvaient facilement assommer voir tuer sur le coup les personnes quelles étaient censées aider à survivre.

Un demi-litre de vodka a un effet considérablement différent suivant qu’il est consommé par un bédouin du désert ou un cosaque des steppes de Russie. Le premier ne dessoulerait qu’après plusieurs jours de repos ne possédant génétiquement pas l’enzyme nécessaire au traitement de l’alcool, le second au contraire aura plus de chances de survivre aux grands froids de son environnement grâce à cette petite dose de poison sans pour autant ressentir la moindre sensation d’ivresse car ses ancêtres en boivent depuis des millénaires et il est génétiquement parlant « sur-entrainé » pour bien pouvoir le supporter.

Le judaïsme est donc un poison qui ne nuit pas à la personne à qui on l’a administré progressivement depuis l’enfance et ce, depuis des générations, de sorte que son corps y est habitué et est capable de tolérer des doses de plus en plus fortes, sans montrer de symptômes particuliers. Mais une dose similaire peut par contre provoquer la mort instantanée de ceux qui n’en n’ont jamais encore consommé.

Le judaïsme donc était contraire à la volonté de Yahuwah. Il accorda cependant à son peuple de s’y attacher par indulgence jusqu’à ce que le temps des nations ne soit accompli.

Car en effet, la « tradition » est un lien si fort, qu’il est faute de mieux, capable de faire survivre au moins l’identité qui lie l’individu à son peuple. Le judaïsme a comme effet positif de ne pas laisser le troupeau se disperser et se perdre dans le néant. Il sert de clôture provisoire tant que le Pasteur ne revienne pour rétablir l’enceinte originale et définitive autour de son Peuple.

On ne retire pas non-plus sa dose d’héroïne quotidienne du jour au lendemain à un toxicomane, de peur que les symptômes provoqués par le manque ne finissent par avoir raison de son cœur. La désintoxication est le plus souvent un processus qui s’opère lentement et progressivement. Dans le cas présent, c’est comme lorsqu’un juif religieux commence à lire ou écouter des enseignements comme les miens et délaisse progressivement le surplus avant d’aboutir au repentir final qui lui ouvre la porte directement sur l’Alliance avec le Messie par le biais des deux baptêmes (celui de l’eau et celui du feu/ou de l’Esprit).

Un autre avantage du judaïsme

En plus de préserver l’identité juive, j’attribue un autre grand avantage à la littérature rabbinique : le Talmud a répertorié tous les événements « mystérieux » survenus dans le Temple, dont les Juifs furent témoins pendant les 40 ans entre la crucifixion de Yeshua et la destruction du Temple. Il s’agit d’une série de preuves continues et solides, auxquelles ils peuvent accéder lors de leurs études, et qui leur permettent à tout moment de réaliser l’erreur monumentale qu’a été le rejet du Rabbin de Nazareth.
En dehors du déchirement du voile dans le Sanctuaire au moment de sa mort, pendant ces 40 années consécutives, les portes du Temple s’ouvraient « d’elles-mêmes » chaque nuit, les bougies de la Menorah s’éteignaient quotidiennement, et chaque année à Yom Kippour, le sort tombait toujours sur le bélier de gauche, 40 fois de suite. Tout mathématicien peut comprendre le caractère hautement improbable de cet enchaînement : environ une chance sur mille milliards (1/1 099 511 627 776). De plus, lors de ces mêmes Yom Kippour, la corde de lin imbibée du sang du bouc de droite, celui qui n’était pas envoyé à Azazel mais sacrifié sur l’autel, n’est plus jamais redevenue blanche au cours de ces 40 années, contrairement à ce qui se passait auparavant, signe que le Tout-Puissant avait accepté le sacrifice expiatoire du peuple.
Cette série d’événements est relatée dans le Talmud babylonien, Traité Yoma 39b – pour ceux qui sont déjà dedans !

Cependant, pour ceux qui ne sont pas nés dans ce système d’enseignement, parce qu’ils ne sont pas juifs ou parce qu’ils s’en sont éloignés en raison de l’assimilation, il est crucial de prendre conscience des dangers qui se cachent derrière :

Car Satan attaque donc par deux fronts. Il souhaite retirer aux juifs cette bouée qui les maintient en vie afin de la lancer à la tête des chrétiens pour qu’ils coulent définitivement.

Que le juif cesse d’être juif, qu’il s’assimile à une église, une assemblée, une idéologie, un parti politique quelconque; et que la chrétienté, au lieu de se greffer au tronc commun, se soumette à des lois superflues et inutiles qui les éloignent encore plus des Commandements originaux et toujours en vigueur de Yahuwah et qu’ils n’ont eu cesse de nier et piétiner durant leur histoire, et pour certains même qu’ils prenne une identité qui n’est pas la leur.

Le judaïsme est l’outil idéal pour arriver à cette fin.

On pourrait encore mentionner le caractère souvent fortement spiritiste du judaïsme qui se manifeste principalement dans l’utilisation de la kabbale et dans leur foi en la réincarnation. Bien que, comme je le rapporte dans un autre article, il existe une certaine forme de réincarnation, mais elle ne concerne en rien les humains, mais plutôt les principautés spirituelles envoyées en mission sur terre, comme dans le cas d’Élie/Yohanan (Jean-Baptiste). Voir mon article Shabbat TEROUMA qui traite plus amplement du sujet.
On pourrait en dire long également sur le caractère parfois ouvertement raciste voir supportant les déviances les plus abjectes de la littérature rabbinique, mais je traite de ces sujets dans un autre enseignement que je vous invite à aller lire ou écouter en ligne et qui porte le titre de: Antisémitisme et antichrétienté.

En bref, on peut dire que la littérature rabbinique contient des déclarations si profondément humaines, souvent insensées et parfois carrément déviantes, que les considérer comme « inspirées par Elohim » est en soi un blasphème contre l’Éternel.
Un chrétien qui tombe dans le piège du judaïsme est encore une faute dont on peut le guérir, mais s’il tombe dans la tentation de la kabbale, l’esprit de la rébellion aura manifestement pris le contrôle sur la personne.

Et ne vous y trompez pas. La communion continue avec le judaïsme rabbinique entraine avec soi un déni progressif et croissant de ta foi en Yeshua le Messie. La conversion au judaïsme quant à lui, implique son rejet directe. Ce qui, dans le cas de croyants déjà nés de nouveau, n’est rien d’autre que le blasphème conscient du Saint Esprit.

À l’approche des fêtes, lorsque de par le monde, des millions de fidèles de bonne foi se préparent à célébrer de manière superficielle, je leur souhaite à tous de trouver leur place autour de cette table de Séder qui est dressée afin d’accueillir tout le monde, chacun dans son identité, mais tous égaux – juifs et grecs, hommes et femmes -, tous réunis sous le pouvoir unique de Yahushua HaMashiah dans le Royaume de Yahuwah.

VERSION VIDÉO

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