Pour beaucoup, il est évident que le moment est venu de revenir aux noms originalement révélés de l’Éternel et du Messie. C’est l’un des points de virage majeurs et essentiels de la restauration, ou pour être plus précis, de la réforme.
De nombreuses personnes sont conscientes que les lettres hébraïques possèdent une valeur numérique. Par conséquent, chaque mot et chaque lettre présents dans les Saintes Écritures ont une signification et une valeur précises. Il est strictement interdit d’ajouter ou de retirer quoi que ce soit, car ils forment une unité parfaite. Cette unité est une source puissante de vie et de bénédiction pour tous ceux qui lisent les Écritures et s’y conforment. Ainsi, la moindre modification ou altération a automatiquement des conséquences spirituelles néfastes sur ceux qui agissent de la sorte.
Il est également évident que le père du mensonge, Satan, cherche à tout falsifier. Par conséquent, lors de la traduction des Saintes Écritures dans les langues courantes, l’un des principaux objectifs est de mal traduire les textes, en particulier les noms de l’Éternel, de Son Oint, et parfois même de Son Esprit, afin de les altérer et de leur ôter leur signification et leur puissance spirituelle. L’ennemi tente ainsi de s’infiltrer au cœur même du Salut, cherchant à provoquer une sorte de fission nucléaire qui détruirait tout.
YHWH / יהוה / YaHuWaH
Le rejet du nom remonte également au judaïsme rabbinique. Le judaïsme s’est formé durant la captivité babylonienne, au cours de laquelle les prétendues lois orales ont été élaborées par des individus considérés comme les sages de la nation, une tradition qui perdure jusqu’à aujourd’hui. Le troisième commandement, qui nous invite à ne pas prendre le Nom de l’Éternel en vain, n’a pas non plus échappé à cette transformation. Afin de s’assurer de ne jamais enfreindre ce commandement, les « rabbins » décidèrent que le nom YHWH ne devrait plus jamais être prononcé. Ainsi, le nom de notre Elohim, Yahuwah, a tout simplement été effacé de la conscience collective. D’autres expressions sont utilisé comme substituts lors de la lecture de la Torah, telles que « HaShem » (Le Nom) et « Adonaï » (Seigneur).
Il est possible de trouver de nombreux enseignements sur Internet concernant la prononciation, ainsi que sur l’importance de revenir à Son Nom à la lumière des prophéties et de l’impact spirituel que cela a sur nos vies. Peut-être que j’expliquerai tout cela plus en détail moi-même ultérieurement. Cependant, avant de tomber dans le piège de revenir strictement à la lettre et de développer une nouvelle théologie ou dénomination,
il est primordial que nous remettions cette question à la direction exclusive du Saint-Esprit/Ruach HaKodesh.
Que cet article soit entre Ses mains, depuis sa formulation jusqu’à sa lecture. Qu’Il nous guide pour savoir quoi faire et comment utiliser Ses noms d’origine, afin d’éviter de nous engager dans de vains efforts humains qui seraient dépourvus de la profondeur spirituelle de la chose. Ne restaurons jamais rien par intérêt personnel, ni pour paraître de meilleurs chrétiens, mais plutôt pour progresser dans l’obéissance sur la voie de la sanctification, et pour ne pas permettre à l’ennemi de continuer à se payer nos têtes, à nous déformer et à voler, jusqu’aux noms du Très Haut.
Tout le monde sait parfaitement bien que la parole prononcée a une influence dans le monde spirituel. Comment cela pourrait-il en être autrement avec les noms du Tout-Puissant ?!
Les lettres hébraïques possèdent également une valeur numérique. Même les sofers juifs, les copistes de la Torah, en cas de moindre erreur, détruisent la feuille entière voire même tout le rouleau, et recommencent la copie depuis le début. Chaque mot a une valeur numérique qui, tel une sorte d’équation mathématique parfaite, donne vie à l’Écriture.
Les noms d’Elohim sont ceux qui contiennent le plus ce pouvoir vivifiant
de ce fait, si nous les altérons ou les remplaçons, nous les empêchons d’exercer leurs effets bénéfiques.
Dans la Tanakh (Ancien Testament), nous rencontrons plusieurs fois le nom Yahushuah, que la traduction rend sous la forme de Joshua-Josué. Les deux noms apparaissent comme un seul nom dans la traduction originale : יהושע (YHSHWH – YaHuSHuah).
YESHUA
Il a effectivement reçu ce Nom de sa mère terrestre au moment de sa naissance, sur instruction de l’Archange Gabriel. Dès lors, dans ce contexte donné, il était prévu qu’Il sauverait son peuple de ses péchés, comme nous pouvons le lire dans Matthieu 1:21. Cependant, pour nous qui sommes nés de nouveau dans le Messie et avons reçu le Ruach HaKodesh, ce nom ne devrait plus être utilisé sous sa forme future, car la promesse s’est déjà accomplie en nous.
ה
Il me semble incompréhensible que quiconque ait pu avoir l’idée de retirer cette lettre ה du Nom de notre Sauveur, qui nous a été révélé plus tard. Surtout lorsque nous considérons l’exemple d’Abraham, chez qui cette même lettre ה (hey), reçue plus tard au milieu de son nom, était justement le signe de l’Alliance. Qu’est-ce qui a pu inciter quelqu’un à penser que…
cette même lettre ה (hey) peut être retranchée du nom du SAUVEUR ?
C’est ainsi que YaHuSHuah est finalement redevenu simplement Yeshua, un nom qui n’est apparu qu’une seule fois sous cette forme dans l’Ancien Testament et dont la signification est « Yahuwah Sauvera« . Je pense que ceux qui ne Le connaissent pas encore, peuvent en effet l’appeler ainsi et nous-mêmes pouvons le nommer de la sorte lorsque nous apportons l’Évangile aux non-croyants, mais pour nous, qui sommes nés de nouveau dans le Messie et avons reçu le Saint-Esprit, ce nom ne devrait pas être prononcé dans sa forme future puisque la promesse s’est déjà accomplie en nous.
À sa naissance, il reçut le nom de Yeshua, et lorsqu’il se présente devant le tribunal céleste vêtu de vêtements souillés par les péchés du monde, conformément à la vision de Zacharie, on l’appelle Yahushua, car : Tout est accompli ! Ici, nous ne sommes plus dans la promesse, au futur, mais dans le temps éternel, constant, présent : Yahuwah sauve et a sauvé. Ici, le Salut prend effet et passe en mode éternel.
Chaque lettre hébraïque a non seulement une valeur numérique, c’est-à-dire un poids mathématiquement calculable lorsqu’elle est prononcée, mais elle a également une signification qui lui est propre. Ainsi la lettre ה signifie : Voici – Signe – Alliance. Son nom original a donc été écourté de la signification suivante :
VOICI l’Agneau d’Elohim, qui est le SIGNE, c’est-à-dire le sceau, de l’ALLIANCE.
ש
Une autre lettre importante et intéressante qui apparaît dans le nom YHWH pour former le nom du Sauveur est la lettre ש (SHin). Entre autres choses, la signification de cette lettre est « destruction ». La nécessité de la mort du Fils est indiquée par ש pour que le signe ה puisse prendre effet. Mais ש sert également d’abréviation pour l’un des noms de YHWH : El Shaddáj (Le Tout-Puissant), comme on le retrouve souvent sur les mezuzot.
Combien plus expressif et complet est le nom de YaHuSHuah que de simplement le prononcer en tant que Sauveur. En effet, Il est le Sauveur, mais Il est aussi le Signe de l’Alliance par le Sang de l’Agneau immolé, et de surcroît, Il est UN avec le Père.
YaHuShuah, le nom de l’Agneau d’Elohim doit obligatoirement fusionner avec le nom YHWH, car ce nom signifie : YaHuWah Sauve.
Comment peut-on penser que les noms qu’il a donnés pour se nommer Lui-même peuvent être traduits dans toutes sortes de langues, c’est-à-dire déformés et remplacés par des expressions souvent dérivées de nom de principautés spirituelles païennes tel que Zeus par exemple ? D’où nous viennent les noms (Théos/Dios/Deus/Dieu – Je-Sus/Heil-Zeus). Cela a été un véritable choc pour moi, et j’ai presque été découragé de poursuivre le ministère lorsque j’ai découvert que même le nom du Sauveur contenait le sceau de l’antéchrist dès l’époque des premières traductions de l’Évangile.
Personne ne traduit les noms des gens lorsqu’ils voyagent à l’étranger. Cela serait considéré comme un manque de respect envers autrui et source de vexation. Si nous pouvons comprendre l’importance d’être respectueux envers le nom de notre prochain, pourquoi ne pouvons-nous pas saisir à quel point cela l’est davantage dans le cas de Yahuwah, notre Elohim !?
Il existe cependant deux cas dans la Bible, où des étrangers ont remplacé des noms juifs par leurs propres sceaux :
Le premier cas concerne Joseph, l’un des principaux précurseurs de Yahushua, qui a reçu le nom de Zaphnath-Paaneah d’un pharaon qui, bien qu’étant très amical envers les Juifs, ne connaissait Elohim que de manière très superficielle.
Le second cas concerne le pouvoir babylonien ultérieur, qui a emmené les Juifs en captivité, détruit le Temple, emporté ses ustensiles et les a dédiés à leurs propres dieux païens. Ils ont également changé les noms de Daniel, Hananiah, Mishael et Azariah en Belteshaszar, Shadrach, Meshach et Abed-nego.
Ce même esprit impérial, appelons-le égyptien ou babylonien, mais qui essentiellement est la fille romaine de ces derniers, a remplacé Elohim par Theos (Dieu) et Yahushua par iessus, afin de continuer à honorer leurs anciennes idoles principales à travers eux.
Il est intéressant de noter que le travail de falsification ne s’est pas arrêté là. Car le culte de leurs autres idoles mineures se perpétue également, mais dans leur cas, au travers de l’utilisation de noms juifs par lesquels ils furent renommés. C’est ainsi qu’Aphrodite et Vénus devinrent la Vierge Marie, Mars, Saturne, Hermès et les autres divinités gréco-romaines furent canonisées comme « saints » et héritèrent ainsi des noms juifs des personnages principaux de la Bible : (Saint Paul, Pierre, Jean et les autres).
Ici, nous voyons le processus par lequel les Justes sont paganisés et les idoles païennes sont « hébraïsées ».
Jésus
Cela a été très choquant et décourageant pour moi de constater que même ce nom contient le sceau de l’Antéchrist et ce, depuis l’époque des premières traductions de l’Évangile.
Parce que tu connais peut-être cette théorie selon laquelle la traduction du nom de YaHuSHuah en grec n’est rien de moins que la salutation « heil zeus« . Cela me semble un peu forcé au premier abord, surtout que ceux qui promeuvent cette théorie fondent leurs explications sur la prononciation espagnole de Jésus (prononcée avec un H fort, qui reflète le plus cette idée). Cependant, lorsque les Grecs ont inventé le terme Jésus, la langue espagnole n’existait même pas. Néanmoins, le phénomène est suffisamment suspect pour que l’on considère sérieusement que cela ne soit pas une simple coïncidence. Connaissant les machinations de l’ennemi, il est tout à fait plausible qu’il se cache également derrière ce genre de déformation.
Cette intention bienveillante des humains, qui vise à rapprocher le nom du Sauveur de la langue maternelle des nouveaux convertis, est utilisée par l’ennemi pour déformer et blasphémer le Nom qui est au-dessus de tous les noms. Comme nous le rappelle le dicton suivant :
Le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions
Satan, entre-autres, est passé maître dans l’art d’utiliser la bonne volonté humaine et les intentions pures pour entraver le plan de YaHuWaH, notamment en s’attaquant à la personne et au nom de YaHuSHuah.
Les Grecs n’ont pas voulu conserver la terminaison -wah de Yahushuah pour la simple raison que la terminaison -a est le signe de la forme féminine comme en latin et en français. Ainsi, ils avaient donc vraiment toutes les raisons d’y apporter des modifications. Mais le problème était que la forme masculine qui y a été ajoutée -us dérive directement du nom de Zeus, qui était le mâle par excellence, selon leurs croyances. Cela a abouti à la naissance d’un nom dont la sonorité comprend intégralement le nom de leur zeus lorsqu’il est prononcé ïesus, chose qui aurait dû leur paraître tout aussi problématique que la forme originale à connotation féminine.
Malheureusement, l’affaire ne s’arrête pas là. Car lorsque la traduction grecque, Jésus, a été adoptée par les locuteurs latins, ils l’ont simplement conservée sans aucune modification. Ici, la question se pose de savoir comment un croyant de langue latine a eu les tripes de garder ce nom sous cette forme et de le prononcer de la sorte lorsqu’il se référait au Messie, sachant que le mot sus en latin était une expression existante et courante qui ne signifiait rien de moins que cochon!?
Et si tout cela n’était pas assez convaincant, à savoir pourquoi il est problématique d’associer le Messie à ce mot grec et à ceux qui en sont dérivés dans nos langues d’aujourd’hui, alors il faut également révéler le grand mystère suivant :
selon la gematria grècque, la valeur numérique des lettres du mot iessus n’est autre que 666.
Plus précisément, les trois lettres grecques, qui constituent ce nombre, n’est autre que la racine du mot jésus, les trois consonnes autour desquelles s’articule le reste des lettres, les voyelles qui n’ont été rajoutées que plus tard. Jean a écrit exactement ces trois lettres dans le livre de l’Apocalypse lorsqu’il y annonça le nombre de la bête : χξϛ (chi xi stigma). C’est exactement cette combinaison de trois consonnes qui fut utilisée à l’origine pour représenter le nom iesus. Plus tard, on y a ajouté les voyelles et le graphisme des lettres grecques a également été modifié par la suite. Ainsi le résultat final est Ἰησοῦς, de sorte qu’il est difficile d’y desceller la racine satanique originale.
On peut également s’attendre à ce que lorsque l’Antéchrist qui se dévoilera d’ici quelques mois ou quelques petites années, il utilisera cet argument préparé bien à l’avance afin d’en tromper beaucoup en disant que le vrai Messie, Yahushua de Nazareth qui a marché sur la terre il y a 2000 ans et qui a été rebaptisé « Jésus », était en fait « l’antéchrist » prophétisé et donc de ce fait, c’est naturellement lui, l’antéchrist qui serait « véritable » sauveur. Nous pouvons aussi nous préparer à ce genre de propagande trompeuse.
Je sais que c’est choquant d’entendre de tels propos et que cela est presque inacceptable. On commencerait presque à se fâcher contre le Tout-Puissant pour avoir laissé l’ennemi nous dérober jusqu’à Ses noms ! Pourquoi l’a-t-il laissé aller aussi loin dans la falsification ?
Avant de céder à l’autocritique ou de s’auto-condamner pour avoir utilisé des noms incorrects jusqu’à présent, il est important de se rappeler que nous devons avancer, pas regarder en arrière. Nous avons tous été, à un moment donné, dans l’ignorance et pris au piège de la tromperie.
En effet, nous avons utilisé ces noms sans en être conscients, mais notre dévotion était sincère, et c’est pourquoi notre relation avec le Divin a fonctionné malgré tout.
Beaucoup d’entre nous se sont baptisés au nom de Jésus, mais malgré cette formulation, nous sommes effectivement nés de nouveau, avons reçu le Saint-Esprit, ses dons et la vie éternelle. Nous avons utilisé ce nom par ignorance, mais au fond de nos cœurs, c’était bien le véritable Messie à qui nous avons consacré nos vies, et nous l’avons vraiment rencontré.
Il est crucial de souligner ce fait, car le temps de la grâce est toujours en cours. Malheureusement, je constate que certains prédicateurs du retour aux noms originaux de l’Éternel tombent parfois dans l’extrémisme, allant jusqu’à presque déclarer, ou du moins insinuer, que ceux qui utilisent les noms dérivés de Zeus, comme Dieu et Jésus, sont voués à la perdition. Cette condamnation est un grave péché et porte atteinte de manière encore plus grave à son Nom que l’utilisation des falsifications contre lesquelles ces personnes protestent. Notre devoir est de prêcher la vérité avec amour et compassion, plutôt que de précipiter le jugement des autres.
Si par contre, après avoir reconnu la nécessité de restaurer les noms d’origine, quelqu’un persiste dans l’utilisation des noms falsifiés, il entrera dans une ère nouvelle qui progressivement raccourcira le temps de la grâce qui lui est donné. Par conséquent, il est essentiel d’attirer l’attention de tous sur ce danger.
Réjouissons-nous que le temps de grâce dure encore. Soyons heureux que le Saint-Esprit continue à nous guider. Rendons grâces de toujours avoir la possibilité de demander à avoir un cœur de plus en plus humble et obéissant afin de pouvoir accepter même ce qui peut encore sembler inacceptable aujourd’hui. Soyons heureux de toujours avoir les noms véritables à notre disposition pour que nous vivions avec et par eux.
Et maintenant, posez la question dans vos cœurs au Saint-Esprit, l’Éternel veut-il réellement que nous revenions et utilisions à nouveau ses noms originaux ? Car s’il nous y invite de l’intérieur et que nous ne franchissons toujours pas le pas, alors d’autres temps moins glorieux commenceront à s’ouvrir dans nos vies.
Elohim / אלוהים
En effet, des noms de faux dieux sont utilisés dans toutes les langues en remplacement du véritable Elohim
Jetons un coup d’œil à quelques langues du monde, dans lesquelles des milliards de personnes à ce jour s’adressent au Tout-Puissant, qui s’est d’abord révélé à nous sous le nom d’Elohim, en utilisant des expressions totalement différentes.
Theos / Zeus
Parmi les lettres incluses dans le Nouveau Testament et qui ont réellement été écrites en grec à l’origine, nous retrouvons aujourd’hui le terme Theos au lieu d’Elohim. Ceci est très vraisemblablement une retranscription ultérieure, lorsque les textes ont commencé à être recopiés. Le terme Theos plus facile à interpréter pour les grecs a dû ainsi venir remplacer le terme original utilisé par Paul. Il n’est pas besoin d’avoir des connaissances théologiques, historiques ou linguistiques approfondies pour reconnaître l’origine de ce terme : Theos-Zeus.
D’ici vient plus tard la forme latine Deus qui par translittération nous est arrivé sous sa forme Dios / Dieu, etc. dans les langues dérivées du latin.
L‘origine des deux termes qui suivent ne sont pas vraiment claires et sont beaucoup plus difficiles à cerner. Cependant, que ce soit l’une ou l’autre théorie qui s’avérerait être la bonne, cela rend leur utilisation très problématique.
ǥuđán / God
Le mot anglais et allemand God/Got peut provenir de deux endroits différents : Premièrement nous avons la divinité babylonienne du nom de Gad qui fut également vénérée par certains juifs durant la captivité et qui est également mentionnée dans le livre d’Isaïe au chapitre 65.
Selon certains avis, le terme « God » pourrait avoir son origine dans le peuple germanique des Goths. Dans le monde germanique, où le concept d’Übermensch (surhomme ou race supérieure) a toujours été prédominant déjà bien avant l’époque nazie, les tribus gothiques étaient considérées comme les plus prestigieuses parmi les peuples germaniques. Les Goths étaient vus comme des héros ou des super-héros germaniques, des guerriers exceptionnellement forts, presque considérés comme des dieux. Dans un monde anglophone qui a des racines fortes dans les cultures anglo-saxonnes, danoises et vikings, qui sont toutes d’origine germanique, il est très probable que le terme « God » soit une expression de l’homme s’élevant lui-même au rang du divin. Lors de l’adoption du christianisme, ce terme a ensuite été utilisé pour désigner l’autorité spirituelle suprême, c’est-à-dire Elohim, le Tout-Puissant, de la même manière que dans toutes les autres langues.
Isten / Ishtar
Le mot hongrois Isten (prononcé ichten, équivalent de Dieu) est peut-être le plus intéressant et le plus dramatique parmi tous par la même occasion. Ici non plus, l’origine du mot n’est pas très claire. Selon certains linguistes, le terme serait d’origine persane, selon d’autres il serait finno-ougrien voire même sumérienne, et signifierait « ancestral », « un », ou « unique ». Jusqu’à présent, cela ne semblerait pas trop poser problème dès lors que nous faisons en effet référence à l’Elohim qui est Ancien, Un et Unique.
Cependant, la sonorité de ce terme est étonnamment proche d’un autre phénomène également d’origine persane et sumérienne, qui n’est autre qu’Ishtar.
Elle fut considérée comme la déesse de l’amour, de la fertilité, parfois aussi de la guerre, identifié à Vénus, l’étoile du matin. Chez les Cananéens et les Mésopotamiens, elle est plus connue sous le nom d’Astarté. Il s’agit d’une divinité qui était tenue en si grand respect même en Babylonie, que la porte même par laquelle le peuple juif entra dans la ville lors de la captivité portait son nom. Les vestiges de cette porte sont d’ailleurs toujours conservés dans un musée à Berlin, juste à côté du trône de Satan.
Malheureusement, cette proximité avec Satan ne se limite pas uniquement au musée de Berlin. Un autre phénomène troublant peut être observé si l’on écrit ce mot en hébreu nous obtenons אישטן, forme presque identique non seulement dans sa sonorité, mais également dans sa graphie au nom de שָׂטָן (STN).
Même si la situation n’était pas aussi grave que ce que nous venons de décrire, et que la ressemblance avec le nom de Satan ne serait que pure coïncidence, la consonance presque identique des mot isten et isthar soulève déjà et rien qu’en soi la question de savoir s’il est réellement sage de l’utiliser lorsqu’on se réfère au Créateur ?
Il n’est d’ailleurs pas étonnant d’observer un tel phénomène dans le cas d’un peuple dont l’une des premières décisions lors de la fondation de l’État, il y a plus de 1000 ans a justement été de remettre le pays entre les mains de la Vierge Marie. Attribuer le nom d’une divinité féminine n’a rien d’étonnant là où le penchant d’une nation pour l’ordre matriarcal se manifeste d’une façon aussi évidente. Après tout, Ishtar n’était pas seulement une divinité féminine, mais était également appelée la reine des cieux, tout comme la « vierge ». Selon les historiens, d’une part, sa personnalité se confond avec celle d’Astarté, mais elle est aussi un prédécesseur direct d’Aphrodite en Grèce puis de Vénus à Rome, elle-même plus tard renommée Vierge Marie par les romains christianisés (du nom original Miriam, la mère juive originale de YahuShuah).
Allah / Elah
Il est intéressant de remarquer que dans le cas de Allah, c’est tout le contraire qui se passe. Car celui-civient directement d’Elah forme hébraïque contractée de Elohim reprise par l’arabe également langue sémitique comme on le sait. La reprise de ce mot se fit à une époque où ni l’islam ni le christianisme n’existaient encore. Les Arabes quant-à-eux existaient déjà et beaucoup vénéraient le véritable et Seul Elohim, comme nous pouvons le voir dans le cas de Jéthro (Yitro) beau-père de Moïse. Jusqu’à ce jour, les chrétiens arabes ou coptes utilisent Allah, cette version abréviée et arabisée d’Elohim comme mot pour désigner Dieu. Il ne s’agit donc pas du nom d’une divinité étrangère qui aurait été claquée sur Elohim, mais bien le contraire. Ici, c’est le nom d’origine qui est repris par un esprit étranger. Ainsi Baal se révèle-t-il a un faux prophète en usurpant la version abréviée Elah et se fait tout bonnement appeler Elohim par des milliards de personnes.
Ex-petits amis ?
Tous ces cas montrent qu’il y a encore des choses viscérales qui sont toujours à restaurer dans l’Église. Qu’on l’accepte ou non, même si cela est choquant, nous devons nous rendre à l’évidence :
l‘Épouse utilise les noms de ses ex pour désigner son Époux !
Et encore, je me suis exprimé avec beaucoup de retenue. Car les anciennes idoles ne sont pas simplement que des ex-petits amis, mais de purs proxénètes. Quel nom devrait-on donner à une femme qui nome son mari du nom de ses anciens maqueraux à votre avis ? Peut-on encre parler d’Épouse ? Ou est-elle toujours une prostituée ou du moins dans un état spirituel mixte, c’est-à-dire dans l’adultère ? Ce phénomène fondamental pourrait-il expliquer la raison de l’état pitoyable de la chrétienté d’aujourd’hui ? Ne serait-ce pas la racine de toutes les déviations du droit chemin ? Le mot latin curba signifie déviation/courbe, ce mot a été repris dans les langues slaves ainsi qu’en hongrois sous la forme kurva qui veut dire prostitué dans sa version plus vulgaire. Cela renvoie à de nombreuses prophéties bibliques où Israël et Juda furent désignés par des adjectifs semblables par leur Mari Elohim. Aujourd’hui, il existe une troisième femme, l’Épouse (Ephraïm ou les Nations) qui avouons-le, n’est guerre bien meilleure que les deux autres.
Dans l’intérêt d’une réforme réelle et effective, peut-être devrions-nous revenir aux sources de manière aussi radicale :
En quels termes parle-t-on du Créateur, du Tout-Puissant, de l’Éternel, de notre Sauveur et de son Esprit ?
Nous ne parlons pas ici de racines juives. Toujours pas. Des choses beaucoup plus sérieuses et importantes doivent encore être restaurées, qui vont bien au-delà des racines juives et par rapport auxquelles celles-ci sont pratiquement insignifiantes.
Parce qu’il n’y avait pas encore un seul Juif sur terre lorsque l’humanité invoquait déjà les noms de Yahuwah et d’Elohim depuis bien longtemps. Puis le Juif est arrivé avec tout son pharisaïsme et a voilé le nom de YHWH avec ses fausses traditions que le Christianisme continue de perpétuer jusqu’à ce jour.
Et aujourd’hui, en tant que juif croyant en le MessieYaHuSHuahde Nazareth, devrais-je également promulguer les racines juives au nom de notre Sauveur en continuant à utiliser les termes déformés ou aliénés tels HaShem/Adonaï et même Dieu ou Ishtar et iesus comme beaucoup d’autres le font ? Eh bien non merci ! Pour ma part, je refuse de continuer à prendre part à ce cirque.
Que dirais-tu si ta femme/concubine/petite-amie t’appelait du nom de l’un de ses ex-petits amis ? Combien de temps supporterais-tu un tel affront avant de la renvoyer d’où elle vient ? C’est ici qu’on voit à quel point Yahuwah est incroyablement patient comparé à nous.
De notre côté par contre, reconnaissons le problème et n’attristons pas davantage Son Esprit en nous comportant comme des prostituées et non comme une Épouse digne et obéissante.
Car l’Époux est à la porte. Y a-t-il de l’huile dans ta lampe ? Si oui de quelle sorte est-elle ? De quels noms as-tu oint le Fils et le Père ? Car les noms que l’on donne sont des onctions et sont porteurs de sens profonds. Et l’Esprit de Yahuwah/Elohim/Yahushuah n’a jamais autorisé personne à Le désigner par ces noms et autres termes impies. Prends conscience que les vierges sages peuvent encore te donner de l’huile véritable aujourd’hui au cas où tu t’avérerais encore faire partie du camps des vierges folles. Car au Jour venu, ce sera celui dont tu auras invoqué le nom qui apparaîtra pour te prendre (Romains 10:13). Que personne n’aie de mauvaise surprise à ce moment-là !
Paul a-t-il également utilisé Théos ?
La question peut immédiatement se poser pour beaucoup : pourquoi le terme Theos au lieu d’Elohim apparaîtrait-il dans l’original grec du Nouveau Testament s’il y avait réellement des problèmes avec ce terme au niveau spirituel ? Cette expression apparaît tout au long des épîtres ! Si donc Paul n’avait pas de problèmes de conscience suite à l’utilisation de ce terme, pourquoi devrions-nous en avoir aujourd’hui ?
Ce phénomène pourrait-il indiquer que le Nouveau Testament n’a finalement pas été écrit en grec, que les documents présentés jusqu’à présent comme originaux ne sont que des traductions ultérieures ? Plusieurs chercheurs bibliques sont apparus ces dernières années qui affirment que le texte original a été écrit en hébreu ou en araméen et que le grec n’est qu’une traduction ultérieure. Cela expliquerait pourquoi Elohim pourrait se transformer en Théos.
Pour ma part, je suis convaincu que certaines parties du Nouveau Testament ont été écrites en hébreu en effet, mais d’autres ont réellement été rédigées dès le départ en grec. Tout comme la promesse du Salut a été transférée pour un temps du peuple hébreu originel aux Grecs, c’est-à-dire aux autres Nations.
Je suis convaincu que les Évangiles de Matthieu, Marc et Jean n’auraient pas pu être écrits à l’origine dans une autre langue que l’hébreu.
Après tout, l’Évangile s’adressait principalement et en premier lieu aux Juifs. Il était donc nécessaire qu’il soit publié pour la première fois dans le monde dans la langue des juifs. De plus, ces gens n’étaient pas réputés pour leur connaissance du grec. Il s’agissait de simples pêcheurs qui ne connaissaient probablement pas la langue du pouvoir oppresseur à un niveau tel qu’ils auraient été capables d’écrire des récits d’une telle portée dans une langue qui leur était étrangère. Cela est vrai même si Matthieu et Marc sont dans une certaine mesure issus de familles juives hellénisées, comme en attestent leurs prénoms.
Luc, en revanche, était grec, un prosélyte converti. Son Évangile a très bien pu être d’emblée rédigé en grec, puisque ce n’était pas seulement sa langue maternelle, mais à cette époque, en raison du rejet du Messie par une grande partie des Juifs, Elohim avait déjà commencé à transférer le relais de l’Histoire du Salut entre les mains des » Grecs », c’est-à-dire les Gentils, pendant un certain temps jusqu’à ce que leur nombre soit atteint. Ainsi, et de manière symbolique, en formulant un des Évangiles en grec, Elohim a pu lancer un signal fort à l’humanité, indiquant que désormais la porte sera également ouverte aux non-juifs.
Paul, contrairement à ses prédécesseurs évangélistes, était quelqu’un de très instruit et de très cultivé. Il était non seulement citoyen romain, mais il parlait également parfaitement bien la langue de la partie orientale de l’empire, c’est à dire le grec. Lorsqu’un tel homme se met à rédiger des lettres à des assemblées dont les membres sont pour la plupart non juifs et dont la langue maternelle est le grec, il ne fait aucun doute qu’il ne va pas se mettre à leur écrire en hébreu, pensant que les frères et sœurs se débrouillerons avec les logiciels de traduction en ligne ou quelqu’autre interprète sur place pour décoder ses messages. Les adeptes de la théorie selon laquelle le Nouveau Testament a été rédigé exclusivement en hébreu devraient un peu réfléchir à ces quelques petits détails avec un esprit parfois un peu plus rationnel et sensé. Il est évident qu’il utilisera comme médiateur la langue qu’ils parlent et comprennent tous en commun.
Par conséquent, les deux théories selon lesquelles le Nouveau Testament aurait été écrit uniquement en grec ou uniquement en hébreu sont deux extrêmes qui doivent être rejetées. La vérité à nouveau se situe quelque part entre les deux.
Par conséquent, je crois que la majeure partie du Nouveau Testament a été écrite à l’origine en grec, mais pas seulement en grec.
Cependant, les manuscrits où l’on retrouve le terme Theos au lieu d’Elohim dans le grec original doivent obligatoirement être des retranscriptions ultérieures.
Rappelons-nous comment Paul réagit lorsque, après être entrés en Lyconie avec Barabbas, où les habitants, dès qu’ils firent l’expérience des miracles et des signes accomplis par les deux apôtres, les appelèrent des dieux et identifièrent Paul à Hermès et Barabbas à Zeus, et se préparèrent à sacrifier des animaux en leur honneur. Paul a alors déchiré ses vêtements devant eux en signe de deuil. Il a détruit son seul bien, son seul moyen de protection, qui le protégeait du soleil, de la pluie, du vent, des tempêtes de sable et des gelées du soir, car des païens, donc de jeunes enfants en esprit, par ignorance et de bonne foi, ont instinctivement voulu élevé au rang divin les personnes qui leur firent du bien.
Comment un homme aussi zélé et écœuré par tout ce qui touche au paganisme,aurait-il bien pu remplacer Elohim par un terme qui est clairement dérivé de Zeus ?
Il est complètement débile et irrationnel d’imaginer qu’un serviteur aussi juste et fidèle du Messie que Paul ait jamais permis que le titre principal du Tout-Puissant soit dégradé à un tel niveau, juste pour plaire aux nouveaux convertis.
A partir du moment où tu reconnais le véritable Créateur et Rédempteur, tu as le devoir et l’obligation d’utiliser les noms qu’Il a Lui-même bien voulu te dévoiler dès le départ. L’homme n’a jamais reçu le pouvoir de décider lui-même des titres et des noms qu’il peut se permettre d’utiliser concernant l’Éternel. Ce sont les animaux qu’Adam a été autorisé à nommer et à baptiser selon ses choix et certainement pas le Père.
Un enfant spirituel peut nommer le Père selon la pureté de son cœur un peu comme il veut tant qu’il le fait par amour et surtout par ignorance. Mais à mesure que nous grandissons en esprit, il convient d’abandonner progressivement tous nos balbutiements enfantins et de nous comporter en adultes responsables et obéissants en signe de respect face à notre Père.
Par conséquent, chacun doit savoir quel âge il a en esprit. Ce message est un appel à ceux qui sont spirituellement suffisamment mûrs et stables pour comprendre la signification des noms originaux afin qu’ils les utilisent en toute franchise tout en abandonnant les faux qu’ils ont utilisé jusqu’ici. Je souhaiterais vous encourager à accepter ouvertement et courageusement ce que vous ressentez de l’intérieur, même si vous savez que le contre-courant est très puissant, que très peu de gens vous féliciteront, et que des frères peuvent même commencer à vous persécuter ou à vous rejeter pour être revenu aux noms originaux.
Je ne condamne pas ceux qui utilisent Dieu et d’autres termes dans le genre, s’ils le font par ignorance et avec un cœur d’enfant, mais comme toutes les autres lois, le moment doit arriver où, sur ordres de Ruach HaKodesh, l’usage des noms originaux doit également être rétabli.
Yahwé
En conclusion et comme encouragement supplémentaire, il convient de mentionner qu’un processus a émergé au fil des années par lequel des millions de croyants à travers le monde reviennent à l’utilisation du nom Yahweh.
Bien que je pense qu’il ne fait aucun doute que la prononciation originale soit Yahuwah, nous disons la même chose, puisque les 4 consonnes, celles qui ont une valeur numérique et ainsi un poids dans la dimension spirituelle, sont prononcées dans les deux cas. Yahuwéh, Yahuwah, la différence n’est en réalité qu’une seule voyelle finale. N’en faisons surtout pas un plat de manière tétue et pharisienne. Je suis heureux lorsque je les entends prononcer le Nom de cette manière.
Grâce à Elohim, non seulement nous ne sommes pas seuls, mais pour la majorité des chrétiens africains et américains, le nom original est constamment utilisé depuis des décennies, et peut-être n’y a-t-il pratiquement plus personne parmi eux qui s’indigne encore à entendre ce nom. Il me semble malheureusement que sur le continent européen, il reste encore beaucoup de chemin à faire en ce sens.
Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent. Apocalypse 3:9
Beaucoup ont essayé d’expliquer qui peuvent bien être ces faux Juifs, dont Yahuwah/Yeshua parle à Jean. Cette phrase est sans conteste l’un des outil les plus couramment utilisés par les antisémites pour tenter de discréditer l’élection du peuple juif. Beaucoup sont déstabilisés face à une déclaration visiblement aussi violente et restent sous le choc n’arrivant pas à en discerner le sens. Ici nous allons voir de manière très simple qui seront, ou plutôt qui sont déjà ceux qui tombent dans cette catégorie de faux juifs membres de la synagogue de Satan.
Comme toutes les autres questions relatives aux Ecritures Saintes, il ne faut pas compliquer les choses et inutile de trop philosopher sur la question.
Après tout, la Parole déclarée de Yahuwah est faite pour tous, afin que tous les humains la comprennent sans distinction de niveau d’étude et de quotient intellectuel. Les gens trop intelligents ou qui essayent de le paraître, ont souvent tendance à détourner des vérités extrêmement simples à force de trop jacasser sur les sujets qu’ils abordent. La parole étant universelle, s’adresse aussi aux gens simples. Donc, au lieu d’explications inutiles, revenons au texte brut lui-même.
Que veut-il exprimer ? Tout simplement,
qu’il y a des juifs parmi nous qui comptent en tant que tel, mais qui ne le sont pas. Ceux-ci servent Satan un point c’est tout.
Le fait d’appartenir à une telle « synagogue » ne signifie pas en soi qu’ils soient automatiquement les fils de la damnation. Pour la plupart d’entre eux, il s’agit de gens trompés qui, espérons-le, se repentiront de leur erreur à temps. C’est toujours la minorité qui agit par nature démoniaque et dépravation innée et viscérale, ceux-ci trompent et entraînent avec eux beaucoup d’âmes dont le sort n’est pas encore tranché, afin de les arracher avec eux dans leur perte.
Interprétation chrétienne traditionnelle
La vision la plus courante du christianisme est que la synagogue de Satan sont simplement les juifs d’aujourd’hui qui depuis le rejet du Messie en Yeshua de Nazareth sont ainsi et automatiquement passés au culte de Satan.
Ce raisonnement peut sembler logique et compréhensible quelque part, car il est vrai que, par définition, quiconque nie le Messie est sous la domination de Satan. Yeshua lui-même déclare aux pharisiens que leur père est Satan, il leur est donc assez difficile de penser à autre chose (comprenons-les un peu ces pauvres chrétiens antisémites). Cependant, les pharisiens auxquels Yeshua s’adressait faisaient partie de cette catégorie de démoniaques dont je viens de faire mention et qui trompèrent une grande partie du Peuple de l’époque. Cette grande partie du Peuple, ainsi que leurs descendants n’ont pas subi de rejet de la part d’Elohim,
mais ont plutôt été mis en une sorte de quarantaine, jusqu’à ce que le temps des Nations ne soit accompli.
Les prêtres de l’époque furent déjà les membres de cette synagogue de Satan, mais cela n’était pas le cas du juif moyen, du peuple qui eux étaient simplement trompés par leurs leaders spirituels corrompus.
Il est certainement bénéfique d’être juif, comme disait Paul aussi parce que, pendant un temps, ils bénéficient d’une protection spéciale contre la puissance de Satan de la part de Yahuwah, malgré le rejet momentané de Yeshua. Bien sûr tout être humain bénéficie d’un certain degré de protection de la part de Yahuwah, même dans le cas de ceux qui ne sont par sauvés, rachetés et en soumission devant Lui, car la vie ne pourrait pas même persister dans le monde autrement. Mais cette protection est d’autant plus présente dans le cas du peuple originellement élu que l’ancienne Alliance du mont Sinai est toujours valable aujourd’hui.
Interprétation antisémite traditionnelle
Les antisémites non-croyants sont du même avis que les antisémites chrétiens. Ils défendent la thèse de l’illégitimité de l’état d’Israël en avançant, entre autres la thèse khazare et autres théories de conspirations visant et accusant l’ensemble de la communauté juive de manière unilatérale. Et bien qu’une grande partie de leurs critiques soient fondées sur des faits réels et justes, la mauvaise nouvelle pour eux, est que leurs arguments ne sont vrais que pour une très fine couche de la population juive. Ainsi, la justice et le jugement qu’ils attendent avec tant d’engouement ne rattraperont que cette couche particulière et bien étroite de la communauté juive, ainsi que tout ceux qui auront haï aveuglément le reste des Juifs à cause de ceux-là, c’est-à-dire eux-mêmes, ceux qui attendent le jugement des juifs.
Ces antisémites du monde sont typiquement ceux qui réfutent généralement la Parole de Elohim révélée dans la Bible ainsi que le sang versé du Sauveur Yeshua, mais qui se permettent malgré tout de se référer à la Bible et en extraire des phrases hors de leurs contextes, lorsque celle-ci semblent soutenir leurs idées perverties.
L’essence de ces deux formes d’antisémitisme est la volonté de se substituer aux juifs en tant que Peuple Élu. Leur fausse élection ne fait-elle pas d’eux également de faux juifs et ne tombent-ils pas ainsi eux-aussi dans la catégorie de synagogue de Satan ? Ils le déclarent souvent de leur propre bouche en s’affirmant être les vrai juifs, les juifs de cœur ou d’esprit ! Remarquez aussi que Synagogue de Satan ça rime avec SS.
Interprétation des chrétiens amis des juifs
Une autre extrême est lorsque le juif devient une telle idole que certains chrétiens vont jusqu’à se convertir à ce judaïsme qui s’obstine à toujours renier le Messie en Yeshua. Beaucoup vont jusqu’à s’imaginer qu’aller s’acquérir l’identité juive est un plus grand gage de Salut que le Sang même versé par Yeshua.
De manière générale les chrétiens philosémites ne parlent jamais du sujet de la synagogue de Satan, ils l’évitent, car remettant en question une partie de ce peuple qu’ils aiment tellement. Parmi eux, il en existe beaucoup qui peuvent être listés dans cette catégorie, même si ce qu’ils font, ils ne le font pas de manière consciente. En effet, ils ont beau porter le masque du Messie, s’ils se mettent à servir des puissances antéchrist, ils ne peuvent faire partie d’aucun autre type de synagogue. Ceux-ci n’œuvrent pas à la greffe de la chrétienté à l’olivier franc,
mais assassinent davantage ces-derniers en esprit en les replaçant sous le joug de la religiosité, de la superficialité de traditions et de folklores judaïques, voir même sous celui de la loi.
Ils distribuent le titre de juif à toutes sortes de gens qui n’en ont jamais eu les origines, les soumettant ainsi au mensonge d’une fausse identité. Beaucoup de communautés juives dites messianiques, ou simplement chrétiennes amies d’Israël, distribuent l’identité juive à qui le veut et déguisent de pauvres gens en crise identitaire en juifs, les habillants de toutes sortes de talliths et autres kippas avant leurs cultes, comme lorsque les clowns se maquillent avant le spectacle au cirque. En fait, ils font la même chose que ceux qui détestent les Juifs, mais par amour dans leur cas. Car eux aussi déclarent sans cesses qu’ils se sentent juifs de cœur, d’âme et d’esprit. Ils se disent juifs, mais ne le sont pas. Il me semble évident qu’ils tombent également dans la catégorie que nous sommes en train de traiter.
Il existe même des théories aberrantes venant de gens se prétendant être juifs et messianiques par la même occasion et qui vont jusqu’à nier ouvertement et de plus en plus des faits définissant fondamentalement la personne du Messie et son origine divine. Des théories sont exprimées réfutant le fait que le Messie soit né d’une vierge et de l’action de l’Esprit Saint, affirmant que Joseph était le père biologique de Yeshua et que sa conception s’est faite de manière naturelle. Ils nient également que la mort sur la croix ait été un sacrifice et que le précieux Sang du Messie n’aurait pas coulé pour le pardon de nos péchés. Malheureusement, de telles déclarations démoniaques se font entendre en ces jours et ici, dans nos régions. Leur haine de la chrétienté, leur identité juive mal vécue ainsi que le complexe d’infériorité qui en découle, les pousse à toujours crier plus fort et à dire quelque chose de toujours plus gros en vue de choquer les esprits, jusqu’au point de tomber dans le piège de renier les fondements même de notre foi. Leur volonté de restaurer la chrétienté prend des proportions si extrêmes qu’ils vont jusqu’à nier le Messie et ainsi le Salut qui en découle. C’est de gens comme eux que Paul à écrit la chose suivante :
Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème! Nous l’avons dit précédemment, et je le répète à cette heure: si quelqu’un vous annonce un autre Évangile que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème! Galates 1:8-9
Peuple Élu
Comme cela est expliqué dans un autre enseignements (Antisémitisme et antichrétienté), ce que Yahuwah choisit est automatiquement choisit par l’ennemi également. Oui, nous pouvons affirmer ce que nos opposants ont l’habitude de dire sur nous est véridique, le peuple juif est le peuple élu de Satan. Seulement, le contexte dans lequel cette déclaration se fait est totalement erronée.
Car le peuple juif restera toujours et avant toutes choses le peuple élu d’Elohim.
Satan a élu le peuple d’Elohim, car nous le savons bien, il tente toujours de s’emparer de tout ce qui appartient à Yahuwah. Non seulement son trône, mais également ses serviteurs, ses sujets, ses biens, ses possessions. Satan veut s’exproprier l’humanité toute entière et au sein de celle-ci, il porte une attention toute particulière à quiconque ayant passé Alliance avec Yahuwah. Les peuples qu’il attaque le plus assidûment sont d’une part le peuple juif en raison de l’Alliance au Sinaï et l’Église d’autre part, le Corps de Christ, en raison de son Alliance par le Sang du Messie.
Juifs renforçant les théories du complot
La synagogue de Satan, ce sont également tous ces juifs de sang et d’origine qui sont devenus des magnats des finances, des banquiers immensément riches, des gens ou plutôt des dynasties et des générations entières ayant abandonné leur foi depuis des siècles pour servir le mammon et les idoles du monde.
Ceux-là n’ont aucune envie de retourner vivre à Jérusalem et de redevenir juifs à part entière, mais se sentent parfaitement à leur aise dans l’exil babylo-romain dont ils considèrent les règles comme étant les véritables lois à suivre et à respecter.
Parmi eux, nous retrouvons ceux qui vont jusqu’à vendre leur âme sur l’autel d’idéologies politiques, voir de préceptes maçonniques ou carrément sataniques. Beaucoup d’entre eux, malgré que d’origine juive, luttent de manière acharnée contre toute forme de religion et de communautarisme sous prétexte de lutter contre le racisme en développant une race humaine mondiale unique, homogène et individualiste basée sur la foi en les sciences. Ainsi luttent-ils non seulement contre la chrétienté, mais contre la communauté juive et Israël tout particulièrement. Et dès lors qu’ils sont incapables de contrecarrer la volonté de Yahuwah de voir son peuple revenir en Terre Sainte, faute de pouvoir détruire l’État Juif, ils tentent de s’immiscer dans son fonctionnement. Autrement dit, ils permettent à l’État juif d’exister, mais ils essaient de le garder sous leur contrôle dans la mesure où ils en ont le pouvoir. C’est ainsi que nous pouvons comprendre les liens qui rattachent le sionisme à la franc-maçonnerie. Israël est ainsi mise à genou par des puissances mondiales la contraignant à se soumettre par l’outil de pressions politiques, militaires ou économiques. Voilà pourquoi Israël se comporte telle une prostituée vivant aux dépends de ses clients et proxénètes.
En effet, aujourd’hui, Israël fait davantage confiance à son petit-ami américain et à ses propres attributs, sa propre puissance physique, c’est-à-dire à son armée, qu’à Elohim. Mais cette confiance commence peu à peu à se déplacer dans la direction d’Elohim. Et le point de bascule final se produira à Armageddon (Har Meggido), lorsque même les États-Unis se dresseront contre Israël, comme cela a été promis.
Juifs religieux
Nous retrouvons également des individus membres de la synagogue de satan au sein de la communauté juive religieuse qui s’attachent de plus en plus, et plus que jamais au rejet de Yeshua en tant que messie. Ceux qui ne se satisfont pas à l’étude de leurs futilités rabbiniques et autres traditions talmudiques – chose qui au moins a pour avantage de maintenir en vie leur identité juive – mais qui continuent à mépriser et blasphémer ouvertement le nom de Yeshua avec une rage
dont la mesure est en relation directe avec le degré de remords que cache leur inconscient au plus profond d’eux-mêmes.
Sur internet, on ne trouve pratiquement pas d’enseignements de « rabbins » qui arrive à se retenir de ne pas mentionner le nom de Yeshua. Tôt ou tard, ils se sentent contraint de s’attaquer à sa personne pour se justifier de ne pas l’accepter en tant que messie. Si j’étais psychologue, je serais sans doute plus enthousiaste face à ce phénomène. En effet, la science connait bien ce mécanisme psychique, lorsque une faute du passé ressurgit et ne laisse pas la conscience tranquille à celui qui l’a commise et la question le travaille incessamment. Seulement, je suis enseignant et non psy. Bien que je sache qu’il y ait du vrai dans ce raisonnement, j’ai malheureusement une vision bien plus pessimiste concernant la chose.
Tout comme notre Sauveur l’a déclaré aux prêtres, pharisiens et principaux sacrificateurs de l’époque, qu’ils étaient fils du diable (Jean 8:44), de même
ce n’est pas l’homme ordinaire qu’il soit Juif mondain ou orthodoxe qui cause des problèmes,
mais ce sont leurs chefs spirituels, les « rabbins » ou « sages » d’Israël, comme ils ont l’habitude de les nommer.
Le diable ne permet jamais à n’importe qui de remplir des fonctions aussi importantes, mais favorisera les individus « dignes de sa confiance », ceux qu’il juge assez dévoués au faux judaïsme rabbinique. C’est à eux qu’il confiera la fonction d’enseignants du peuple. Ayant, comme on le sait, droit de pouvoir sur le monde, les sièges sacerdotaux et rabbiniques n’échappent naturellement pas à son contrôle. Ceux-ci font ainsi également partie de la synagogue de Satan, car responsables de l’enseignement faussé et de la lamentable condition spirituelle du peuple. Ce sont eux qui attisent la haine contre Yeshua chez ceux qui pourraient ne pas être particulièrement dérangés par sa personne à la base. Ce sont eux qui dévient les croyants juifs de plus en plus loin du Messie, et sans lesquels beaucoup de ces derniers auraient peut-être déjà reconnu le vrai Messie en Yeshua depuis longtemps. Bien que ces faux enseignants soient probablement pour la plupart de simples âmes humaines, elles-mêmes trompées et envers qui la Grâce du Messie est toujours valable, certains parmi eux ont leur destin scellé d’avance et ne sont apparus dans un corps humain que pour semer le trouble, comme ce fut le cas de la plupart des Pharisiens et des Sadducéens de l’époque, qui savaient exactement face à qui ils se trouvaient, et qui étaient probablement déjà là au moment de l’ancienne rébellion, quand avec Hellel (ainsi devenu Satan) ils dirent directement dans les yeux de Yahuwah qu’ils ne veulent pas de Lui. Et maintenant, ils apparaissent également sous forme humaine parmi nous, afin de détruire l’humanité en esprit et parmi elle, les Juifs en particulier. De notre point de vue, peu importe qui est qui, le rabbin en question est-il trompé ou carrément une incarnation démoniaque, ce n’est pas nous qui jugeons. Qu’il s’agisse de l’un ou de l’autre, l’essentiel est que ces gens n’ont rien à nous apprendre et nous n’avons rien à apprendre d’eux. Les écouter ne nous apporte absolument rien, bien au contraire.
Pour simplifier, nous pouvons affirmer que sont membres de la synagogue de satan tous les juifs qui continuent encore aujourd’hui à hurler comme le fit autrefois la foule devant Pilate : « Crucifie-le ! », et encore : « C’est Barabas que nous voulons ! » Peu importe à quel point la fausse chrétienté au nom d’un messie faussé et transformé en une vulgaire idole du nom de jésus et le crucifix à la main est responsable de la mort et de la persécution de nos ancêtres, le juif qui aujourd’hui encore continue à se rebeller de manière consciente contre la messianité de Yeshua ne peut être considérée que comme faisant toujours partie de la synagogue de satan. Mais je le répète: Il n’en sont pas les membres de manière intrinsèque, mais en sont les prisonniers pris au piège, enfermés comme dans une cage, tels des pigeons.
Parmi les juifs cependant, nombreux sont ceux qui préfèrent rester en silence. La sagesse de ces derniers les poussent à ne rien dire qu’ils pourraient un jour regretter s’il s’avérait qu’ils étaient dans l’erreur.
Ceux-ci sont comme Gamaliel qui prévint les magistrats
de bien considérer la décision qu’ils étaient sur le point de prendre contre les premiers disciples. Car s’il s’avérait que la chose vient d’Elohim, ils passeraient pour des rebelles devant le Très Haut, mais si la chose n’est pas de Lui, elle disparaîtra d’elle-même tôt ou tard. (Actes 5:34-39). J’ose penser qu’aujourd’hui, la grande majorité des juifs sont comme Gamaliel. Ceux qui préfèrent attendre en silence et ne rien dire. Ils ne portent pas de jugement sur Yeshua bien qu’ils auraient toutes les raisons de le faire au vu de ce que la chrétienté leur a fait endurer en son nom au cours des siècles. Ils constituent ce fameux reste qui sera greffé à nouveau dans la racine de l’olivier franc, selon la promesse. D’ici là, il leur est permis de rester tièdes, afin de leur éviter de tomber dans le péché bien plus grand qu’est le blasphème et la rébellion.
Bien qu’il soit fort probable que la proportion de Juifs non sauvés soit beaucoup plus élevée que je ne le pense et que nous connaissions depuis longtemps le nombre exact grâce aux anciennes prophéties. Il est bien connu que d’ici quelques années, un tiers de la population juive sera à nouveau détruite. Peut-être qu’Elohim purifiera-t-il ainsi tout le peuple, de sorte qu’un peu plus tard une autre prophétie puisse s’accomplira à son tour, selon laquelle tout Israël sera sauvé ? Je ne peux pas le dire avec certitude, je n’en suis pas sûr, mais cela me semble être un indice de taille.
Juifs non-religieux
La grande majorité des juifs aujourd’hui et particulièrement des israéliens croient en Elohim, mais n’adhèrent à aucun courant religieux. Ils refusent toute forme d’orthodoxie et pratiquent leur foi de manière libre, ne se rendant aux synagogues qu’aux grandes fêtes tout au plus. Ces gens respectent les enseignements rabbiniques, car ne pouvant pas encore discerner le vrai du faux, mais ne s’y soumettent que dans la mesure que leur bon sens leur permet. Ces juifs sont comme ceux mentionnés plus haut, ils ne se rangent pas de manière consciente contre la personne du Messie. Ces juifs sont excessivement tolérants et n’attaquent donc pas Yeshua, mais le respectent au même titre que les prophètes des autres religions. Ils font également partie de ce reste tiède qui a pour avantage d’être déjà en grande partie purifié des dérives rabbiniques.
Le Troisième Temple
La synagogue de Satan la plus apparente et la plus évidente qui apparaîtra dans le monde sous une forme physique est bien ce temple de Jérusalem que les juifs vont bientôt reconstruire. Ce fameux troisième temple dont tous les ustensiles et ornements (et même les vaches rousses) sont déjà prêts et où les futurs prêtres de l’antéchrist n’attendent que le moment où ils pourront à nouveaux présenter les sacrifices d’animaux comme autrefois. La reprise des sacrifices est incontestablement un acte de rébellion contre l’Agneau d’Elohim, car au Golgotha le Sacrifice ultime et définitif sur la Croix s’est accompli, abolissant ainsi à jamais les offrandes du temple qui jusque là n’étaient que sa préfiguration. Yahuwah s’est d’ailleurs assuré que son peuple rebelle au Messie au moins, ne tomberait pas dans le péché de perpétuer l’ordre des sacrifices. Ainsi laissa-il les troupes romaines détruire le Temple de l’époque, afin de mettre un terme à la pratique des offrandes.
Yahuwah n’a pas permis à son peuple de commettre cet outrage, même de manière inconsciente.
Peu le savent, mais la littérature rabbinique et les historiens juifs, nous relatent tous ces phénomènes étranges qui sont apparus à l’époque du dernier sanctuaire, durant la période qui s’étalait depuis la mort de Yeshua sur la croix jusqu’à la destruction du temple. Nous connaissons tous le premier des signes qui n’est autre que la déchirure du voile dans le Saint des Saints au moment où notre Sauveur a remis son âme entre les mains du Père. Cependant, peu de gens le savent, mais env. de 30 à 70 de l’ère grégorienne, la porte du Sanctuaire s’ouvrait « toute seule » chaque nuit. Aussi, pendant Yom Kippour, le sort tomba, dans chaque cas et pendant quarante ans, sur le bouc qui se tenait à la gauche du sacrificateur, ce bouc qui devait être relâché vers Azazel dans le désert selon la loi de la Torah. Aussi, en ce jour de Yom Kippour, une corde cramoisie, enduite de sang, ne redevint plus jamais blanche, comme Yahuwah l’avait donné auparavant de le faire, en guise de confirmation que le sacrifice offert pour les péchés du peuple a été accepté. Et finalement, les lampes de la Menorah se sont également éteintes tous les jours pendant quarante ans, malgré tous les efforts des lévites pour empêcher cela. Elohim a ainsi constamment signalé au peuple l’erreur que représente le rejet de Yeshua d’une manière si spectaculaire et si claire, qu’elle est encore aujourd’hui répertoriée dans la littérature rabbinique. Ils n’ont donc aucune excuse.
Pour en revenir à notre époque de la fin des temps, il y aura en effet des juifs qui s’obstineront à soutenir l’antéchrist, même lorsqu’il deviendra évident aux yeux des connaisseurs de la Parole qu’il n’est pas le véritable messie. Dans le troisième temple, arriveront des choses qui rendront manifeste aux yeux des juifs religieux le fait que l’antéchrist n’est toujours pas le messie tant attendu. Il ne sera pas capable de tromper tout le monde. À ce moment précis, une grande déception accablera le reste du peuple juif, car au départ eux-mêmes ayant cru qu’il s’agissait du bon. L’ennemi n’a pas pouvoir absolu. Dans cette bataille, Yahuwah détient des armes infaillibles capable de protéger et convaincre un grand nombre. Parmi ces armes, sa Parole est sans aucun doute le meilleur bouclier protecteur.
L’un de ces événements auxquels je fais allusion sera le mélange spirituel qui caractérisera le fonctionnement du dernier temple. En effet, les prêtres déjà désignés pour reprendre l’ordre des sacrifices, affirment depuis le départ que le prochain temple ne sera pas uniquement celui des juifs, mais sera un sanctuaire pour tous et pour toutes les religions. Il feront leurs sacrifies en la présence du pape, du dalaï lama et d’autres chefs religieux avec lesquels ils prieront ensemble pour la paix du monde. Ce sera le lieu d’un véritable cirque œcuménique qui risque de ne pas plaire à tout le monde. En outre, une statue y sera élevée devant laquelle tous genoux devra fléchir, selon la prophétie. Le moment où les fidèles devront quitter la ville sans tarder selon l’avertissement.
Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation établie là où elle ne doit pas être, – que celui qui lit fasse attention, – alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes
Marc 13:14
Il est évident que les orthodoxes puritains ne se soumettront pas à de tels rituels et passeront par une grande crise spirituelle, car ils se sentiront doublement trompés, une fois au niveau de troisième temple et une fois dans la personne du messie.
Ce sera de cette grande confusion qu’aboutira la reconnaissance du véritable Messie en Yeshua.
Voilà tout, je n’ai pas de vision plus profonde au delà de ce qui vient d’être cité concernant la nature de cette fausse synagogue mentionnée dans le livre de l’Apocalypse. Peut-être est-ce tout. Mais il se peut que cela soit encore plus complexe. Ce qui me paraît certain c’est que les juifs mentionnés plus haut et servant des esprits étrangers sous des jougs démoniaques sont bel et bien parmi nous depuis très longtemps et peuvent sans aucun doute être rangés dans cette catégorie. Les démasquer devient une priorité de plus en plus urgente a mesure que l’arrivée du faux messie approche.
Il s’agit donc de juifs qui ne le sont pas ou pas encore. Ils en gardent les marques physiques dans leurs slips tout au plus, mais leur esprit, leur cœur en est très éloigné. Ils ne sont pas juifs car selon les vrais lois de Moïse, nous considérons juif uniquement ceux qui le sont parallèlement au niveau du sang et de l’esprit. Les deux critères sont inséparables, si l’un manque, on ne peut pas réellement parler de juif. Le critère de la consanguinité ne suffit pas en soi et inversement.
Seule la connexion spirituelle au divin fait d’un juif de sang un véritable israélite.
Le Juif, ce n’est pas celui qui en a les dehors; et la circoncision, ce n’est pas celle qui est visible dans la chair.
Rome 2:28
Soit quelqu’un n’est simplement pas juif car n’ayant pas d’ascendance et qu’il le veuille ou non il ne deviendra jamais juif ni d’esprit ni de cœur, soit un autre qui en a le sang, ne redeviendra réellement juif que lorsque son cœur sera enfin circoncis au même titre que son pénis.
Que l’on se garde de damner un juif fidèle à Yahuwah, même si étant dans l’erreur momentanée du judaïsme rabbinique. Évitons de juger quiconque faisant momentanément partie de cette mauvaise synagogue, car cela serait considéré comme une attaque directe à la prunelle de l’œil d’Elohim. Quiconque maudit le juif sera maudit à son tour, selon la promesse faite à Abraham. Nous devons prier et œuvrer pour qu’un plus grand nombre possible en réchappe. Qui, en tant qu’étranger ou même en tant que fils cadet ose s’immiscer dans le jugement que porte le Père envers son fils aîné ? Si quelque chose ne te regarde pas, garde-toi de t’en mêler de peur que ce soit finalement toi qui reçoives la fessée que tu aurais tant voulu voir être infligée à l’autre !
L’église de Satan
Mais Satan n’a pas seulement une synagogue, il a également des « églises » chrétiennes en grande quantité. Ceux qui se prétendent être du Messie, mais ne le sont pas. Ceux qui avec leurs églises institutionnelles et leurs lois ou théologies rajoutées jettent le voile sur la nature véritable du Sauveur au même titre que le judaïsme rabbinique aveugle ses adeptes qui sont toujours incapables de reconnaitre le Messie. Il s’agit de tous ceux qui sont capables de faire des idoles de tout, même de Yeshua et pas simplement en sculptant ou peignant son image supposée, mais en s’obstinant toujours à piétiner les Commandements qui se sont incarnés et accomplis en Lui. Ils affaiblissent et sabotent ainsi le fonctionnement de la seule et véritable Église qu’est le Corps du Messie.
Mais il existe aussi des films tels des midrash chrétiens, où de pauvres types à barbes avec leurs tronches ésotériques et fans du pape vont te jouer à l’écran ce que jésus aurait prétendument fait et déclaré entre deux versets de l’Évangile. Le Midrash étant cette partie de la littérature juive qui comble les lacunes de la Torah et invente toutes sortes d’histoires extra-biliques concernant la vie et les agissements des personnages de l’Ancien Testament. À quoi ressemblait leur vie au-delà de ce que la Parole révèle à leur sujet, etc. « Chosen », c’est-à-dire choisi ! Quant à la série, en effet elles est sans conteste l’outil moderne de prédilection choisi par Satan pour aller foutre la pagaille dans ta tête et dans ton esprit, afin que tu ne puisses plus discerner la Parole de l’Évangile de ce qui t’a été rapporté aux travers de cette série infâme. Je n’ai pas vu de manœuvre plus satanique contre le Corps du Messie que ce film depuis la fondation de l’église romaine par Constantin dit « le grand ». Toute représentation du Sauveur avec les traits d’un vulgaire acteur est immensément problématique, mais cette série dépasse toutes les bornes !
On pourrait en dire bien plus long sur le christianisme de Satan : les diverses fausses doctrines et sectes, la violation de la loi ainsi que l’utilisation arbitraire et illégitime des dons du Saint-Esprit. Mais une partie très importante de notre ministère cible justement ces problèmes et je ne pense pas qu’il soit ici nécessaire de les aborder davantage.
Où en sommes nous personnellement ?
Finalement, la synagogue de Satan ce sont tous ceux qui œuvrent de manière consciente ou pas au discrédit et à la destruction du Peuple d’Elohim. Il s’agit aussi bien de juifs, de chrétiens que d’autres, tous ayant en commun la volonté de se substituer au peuple élu. Nous pouvons tous tomber dans cette erreur. La question qui se pose est : allons-nous nous rendre compte à temps en quoi faut-il modifier notre façon de penser, d’agir et notre état d’esprit avant qu’il ne soit trop tard ? L’appartenance à la synagogue de Satan n’implique pas automatiquement la perdition. Il y a possibilité de s’en libérer, d’en sortir. Mais pour cela, il faut dévoiler ce que cela signifie, afin d’en libérer les captifs. Mais dévoiler sa nature est aussi chose primordiale, afin que tous les chrétiens purs de cœur voulant se greffer aux racines originales ne tombent pas le piège de faux enseignements juifs, qu’ils soient traditionnels ou messianiques.
Fondamentalement, cette synagogue du diable symbolise et regroupe tous ceux qui persécutent les véritables disciples du Messie étant eux-mêmes persuadés de détenir la vérité ultime.
Ce qui est certain, c’est qu’il ne reste plus beaucoup de temps avant que nous soyons définitivement fixés sur la véritable nature de ce mystère.
Cela fait longtemps qu’on ne devrait plus expliquer aux chrétiens en quoi l’État juif est légitime à la lumière des prophéties. Malheureusement, cela est encore nécessaire, car les fausses doctrines chrétiennes qui tentent de se substituer à l’Israël en esprit représentent une telle proportion du monde chrétien que l’on ne peut toujours pas négliger ses groupes de personnes et nous devons continuer le combat en leur faveur afin de leur ouvrir les yeux.
Mais parmi ceux qui acceptent les prophéties, la question se pose souvent de savoir : quel genre de prophétie permet à un pays visiblement aussi dépravé que l’État sioniste moderne d’exister encore ?
Comment pouvons-nous considérer l’un des États les plus athées et les plus souillés des péchés les plus divers comme étant l’accomplissement de prophéties bibliques en accord avec la volonté du Tout Puissant ?
La question est en effet légitime, et si nous sommes en Esprit et que l’on pose les regards sur Eretz, on s’aperçoit vite qu’aucun sentiment de cathartisme spirituel ne nous gagne, bien au contraire.
À qui appartient la Terre Sainte ?
Il est impératif de préciser dès le départ que
le seul propriétaire de la Terre Sainte est Yahuwah
lui-même et non le peuple juif, ou au sens plus large, les Israélites, ni aucun autre peuple. Il s’agit de l’unique portion de terre où, dès le commencement, le seigneur du ce monde, Satan, n’a jamais eu aucun droit de disposition. Et il plut à Yahuwah d’avoir réservé cette Terre au Peuple Élu depuis le début jusqu’à la fin des temps. Lorsque de temps à autres, contre sa volonté, il est obligé d’en exiler ses fils désobéissants, le pays se retrouve provisoirement aux mains d’autres peuples.
Sionisme
Tivadar Herzl, journaliste germanophone d’origine juive hongroise, né dans le voisinage de la grande Synagogue de la rue Dohàny à Budapest, mais résidant à Vienne et travaillant pour un journal viennois, était en mission à Paris lorsque la célèbre affaire Dreyfus avait lieu. Il a vu l’officier Dreyfus, accusé de trahison, être privé de ses fonctions et de son grade en public, lorsque son épée fut brisée.
Herzl fut choqué lorsqu’il vit une foule haletantes se rassembler sur les lieux en criant : « Mort au juif ». Il n’en revenait pas qu’à peine un siècle après la révolution française et la proclamation des droits de l’homme, le peuple français était encore à ce niveau de primitivisme.
Comme il s’est avéré plus tard, les coupables étaient les officiers français supérieurs chrétiens de Dreyfus, et les documents secrets de l’armée française ont été remis aux officiers allemands par l’intermédiaire d’un aristocrate hongrois, le comte Eszterházy. Ce sont eux les traîtres qui choisirent un juif comme bouc émissaire. Ce fut la vision de l’humiliation de Dreyfus et de la rage du peuple qui ont donné naissance au concept de l’État juif moderne dans l’esprit de Tivadar Herzl à Paris à ce moment précis de l’Histoire. Il s’est rendu compte que nous avons besoin d’un pays où nous jouissons d’autodétermination, où nous pouvons nous défendre avec des armes et vivre en paix les uns avec les autres.
Le sionisme, depuis Herzl à ce jour a toujours été traditionnellement athée et socialiste. Il s’agit principalement d’une initiative venant de juifs pour la plupart assimilés et non croyants qui ressentaient dans cette Europe d’avant les pogroms et l’Holocauste que quelque chose de très malsain était en préparation et que le temps était venu de partir et regagner notre patrie ancestrale.
C’est ce qui a finalement abouti un peu tard en 19461, lorsque l’État d’Israël a finalement été proclamé.
Anti-sionistes
Beaucoup savent que les plus grands antisionistes du monde sont souvent des juifs et ceux qui comptent officiellement comme étant des juifs par le sang sont des ennemis féroces de l’État Juif. (Par exemple György (Georges) Soros – proclamé persona non grata en Israël, personne indésirable, car étant partisan et financeur déclaré de groupes terroristes arabes. Il fut également utilisé comme « chien de détection » durant son adolescence par les nazis à Budapest sous la guerre. C’est lui qui aida ses maîtres nazis à s’exproprier les objets de valeurs laissés à l’abandon dans les appartements des juifs qui avaient été déportés. Voir les vidéos d’interview à ce sujet sur youtube où il explique et avoue lui-même son passé presque avec fierté.
Il existe une autre forme d’antisionisme juif qui n’est pas basé sur l’athéisme, mais au contraire, sur l’extrémisme religieux. Dans ce cas également, ce sont les Juifs d’origine hongroise qui se démarquent de la moyenne. Le courant orthodoxe Szatmár (de la région hongroise du même nom) refuse fondamentalement de permettre à quiconque d’établir un État juif en Terre Sainte. Pour eux, seul le Messie a le pouvoir de ramener l’état d’Israël à la vie. Jusque-là, aucun juif n’a le droit de le faire. Cependant, le retour des juifs en Terre Sainte est selon eux également autorisé et même recommandé. Ceux-ci travaillent également en faveur de la prophétie du retour, mais d’une manière différente, négligeant complètement le côté politique et administratif de la question.
Ce sont eux qui bénéficient du système de sécurité, de la protection militaire et des avantages sociaux de l’État sioniste, mais qui refusent d’y contribuer, de travailler ou de servir dans l’armée. Ou plutôt, ce sont leurs femmes qu’ils envoient travailler à leur place, car l’homme se doit naturellement d’étudier les textes du matin au soir selon les préceptes talmudiques. Pendant ce temps, ils attendent de leurs compagnes qu’elles aillent gagner le pain qu’ils mangeront le soir, tout en se débrouillant pour maintenir un foyer propre et correct et de s’occuper de leurs 5 à 13 enfants par famille en moyenne.
Ceci dit, ce mode de vie illégitime et infâme est répandu parmi tous les courants de l’ortodoxie juive, pas uniquement chez les Szatmár !
L’orthodoxie Satmar est le courant le plus répandu dans le monde. Ils peuplent principalement les villes d’Anvers et New York où se trouvent des communautés plus importantes en dehors d’Israël.
Au sein de cet orthodoxie s’est développé le courant neturei karta, « défenseurs de la ville » qui ne se bornent pas à la résistance pacifique, mais militent violemment contre l’Etat d’Israël. Ce sont eux qui, vêtus de drapeaux palestiniens, brûlent des drapeaux israéliens tout en finançant eux-mêmes des groupes terroristes arabes qui versent du sang juif et se présentent souvent avec les dirigeants des principaux ennemis d’Israël. Ce sont eux qui commettent de manière indirecte le fratricide, violant ainsi une loi beaucoup plus fondamentale que celle de la défense d’établir un état juif à la place du Messie. Il s’agit de vulgaires assassins qui selon nos lois, et les leurs par la même occasion, mériteraient la mort immédiate par lapidation. Ils sont naturellement d’autant plus aveugles concernant ce fait évident, que leur délires talmudiques extrêmes surpassent ceux de la moyenne des autres religieux.
Un orthodoxe digne de ce nom et en harmonie avec lui-même, s’il y en a, ne se permet de professer ses opinions antisionistes que de manière descente et modérée. Un juif digne de ce nom, ne va jamais lier pacte avec l’ennemi et critiquer son frère en public ni inciter à la haine et la destruction de ce dernier. Et s’il se sent une envie pressante de brûler un drapeau israélien, il le fera en famille derrière les rideaux et non dans la rue aux yeux du monde entier.
Commande/promesse du retour
Cette situation chaotique où il est humainement très difficile de dire qui a raison (parmi les différents types de juifs naturellement), doit être considérée du point de vue de Yahuwah. Car tous effleurent de près ou de loin des vérités fondamentales venant de Yahuwah et la plupart des parties ont une bonne excuse pour leurs comportements déviaSionistes.
Selon la volonté de Yahuwah et suite à la destruction du sanctuaire, vers 70, le peuple juif a entamé le plus long exil de son histoire qui dure jusqu’à ce jour. Cependant,
selon les prophéties, le peuple doit réintégrer sa patrie originale avant le retour du Messie.
Nous avons ici à faire avec un peuple qui est tombé dans deux extrêmes. Une partie a abandonné la pratique de sa religion et qui est en colère contre son Créateur parce qu’elle ne comprend pas comment ce dernier a pu permettre de leur faire subir autant de souffrances. Ceux-ci ont souvent préféré abandonner leur identité qu’ils considèrent comme la source et la cause de tous leurs maux.
D’autre part, nous trouvons des juifs qui suivent les préceptes religieux à la lettre. Ces préceptes qui ont beau se baser sur la Torah, la Parole révélée de Yahuwah, mais qui en ont été grandement déviées par une multitude d’enseignements superflus et humains. Ce sont précisément ces enseignements et préceptes travestis qui constituent le voile qui est venu se déposer sur leur cœurs et leurs yeux et qui les empêche de reconnaître le Messie en Yahushua. Chez eux, les persécutions et souffrances subies au cours de siècles n’a fait qu’accroitre leur intégrisme religieux afin de regagner la sympathie d’Elohim. Il est le schtoumpf à lunettes de la communauté, celui qui fait même ce que l’on attends pas de lui afin de plaire au grand schtoumpf. C’est lui qui va continuer à porter un schtreimel et un kaftan bien noir (chapeau de fourrure et longue tunique noir) même après avoir quitté ses steppes froides de russie alors qu’il vit depuis longtemps sous le soleil de plomb du proche orient car c’est ce que les grands « sages » d’Israël lui ont demandé de faire 150 ans plus tôt et personne n’a encore cru bon de modifier les décrets pour les adapter à la situation actuelle. Et on pourrait énumérer les nombreuses absurdités que renferme encore la littérature rabbinique.
Son comportement reste néanmoins attendrissant, car il est tellement convaincu que c’est ainsi qu’il fait plaisir au Père.
Il est clair qu’aucune des parties ne rempli plus le rôle, l’identité et le chemin d’origine qu’Elohim leur a assignés, surtout depuis que le Messie n’a pas été reconnu en Yahushua. Pourtant la promesse, le commandement, la prophétie du retour sur la Terre Sainte à un moment donné est toujours valable,
car le rejet du Peuple n’a jamais eu lieu et n’aura jamais lieu
(voir Romains 11, s’il est encore nécessaire d’attirer l’attention là-dessus).
Imaginons à présent un père de famille qui est obligé de chasser ses fils de la maison car ils sont incapables de se plier aux règles. Puis, avant de les laisser partir, il leur ordonne de rentrer chez eux avant le coucher du soleil car le danger approche. Les fils peuvent errer toute la journée, certains d’entre eux allant encore plus loin des préceptes du père et d’autres essayant de les garder avec un zèle de plus en plus délirant et inutile. Aucun ne revient réellement à la Parole du Père, mais tous deux ressentent le danger de la nuit arriver et se pressent de rentrer chez-eux.
Qui selon ses propres motivations et intentions athées ou religieuses, mais l’important c’est qu’ils reviennent tous. Même s’ils ne le font avec la repentance voulue, le principal c’est qu’ils restent en vie à l’abri des dangers de l’obscurité.
Israël, en tant qu’État laïc, qui, à bien des égards est également influencé par les forces antichrist, a au moins l’avantage de réunir le troupeau égaré. Ainsi,
Yahuwah permet que ce rassemblement se fasse provisoirement sous des drapeaux étrangers, tel le sionisme socialiste et athée.
Ceux donc qui critiquent la laïcité d’Israël le font à juste titre, mais ils n’ont tout simplement aucune vision quant au fait que le retour en Erec ne pourrait se faire autrement dans le cas de beaucoup de juifs. Et au lieu de critiquer, tu devrais te réjouir, faute du reste, de voir au moins cette loi s’accomplir, celle de rentrer en Terre Promise.
Ceux par contre qui acceptent Israël tombent souvent dans l’autre extrême, celle de l’idolâtrie du juif voir celle de l’accomplissement de la prophétie. Eux, même s’ils n’acceptent pas consciemment les péchés, ils la tolèrent malgré tout en jetant le voile sur les péchés d’Israël au lieu d’y remédier en les dévoilant, et en annonçant le chemin de la guérison qui est le Messie. Ainsi, cette langue de bois et politique de l’autruche ne contribue qu’à faire empirer la situation.
Et la communauté juive religieuse devra un jour se rendre compte que la plupart de leurs frères séculiers n’ont pas abandonné la foi simplement à cause de l’antisémitisme.
Nombreux sont ceux qui ont été dissuadés de rester dans la foi à cause des doctrines et des lois talmudiques visiblement humaines et intrinsèquement très étrangères à la mentalité juive originelle.
Un juifs sobre et lucide ne basculera jamais dans l’orthodoxie et ceci n’est pas une question de foi. Il préfèrera plutôt aller remporter des prix Nobels ou dans le pire des cas de fonder des banques. Quiconque a une idée des choses de Yahuwah se rendra vite compte que le judaïsme rabbinique est rempli de doctrines, de lois et d’exigences inacceptables, à la fois au niveau intellectuel qu’au niveau spirituel ! Et comme il n’y a pas d’autre alternative pour demeurer juif, certains préfère sortir dans le désert du monde et utiliser leurs talents pour réussir dans la vie et subsister. Ceux-ci n’auront d’autre but que de garantir le meilleur enseignement possible à leurs enfants afin qu’eux aussi puissent survivre dans un monde qui leur est étranger et hostile. L’argent ne fait pas le bonheur, mais est souvent une aide précieuse et un moyen de survie. Ce point de vue est humainement compréhensible et les dirigeants de l’État sioniste actuel fonctionnent selon ce principe. Tant qu’il y a assez d’argent et d’armement, tout va bien. Ce sont leurs idoles, pour l’instant.
La question palestinienne
Selon certains, il paraîtrait qu’il n’existe aucun peuple palestinien de nos jours. Mais là n’est pas la question. Ils pourraient très bien exister, mieux être les descendants directs des Philistins antiques, qu’ils resteraient tout aussi étrangers à la Terre Sainte qu’ils ne le sont à la base. Les Philistins, leurs ancêtres présumés, ont eux-même toujours été des intrus et des usurpateurs dont la présence en Terre Sainte et l’hostilité vis-à-vis des juifs était conséquence directe des péchés d’Israël. Je ne comprends donc pas vraiment le débat et surtout je ne comprends pas pourquoi personne ne prêche cette vérité fondamentale au lieu de discuter et de s’expliquer inutilement ?
Ou plutôt oui, les palestiniens existent bel et bien et ce, depuis l’époque romaine, lorsque la volonté de déjudaïsation d’Israël de la part de l’empire est allée jusqu’à renommer la Terre Sainte, Palestine et les juifs qui y vivaient, palestiniens. Dans les années 1930, les encyclopédies définissaient les colons juifs comme étant des palestiniens et le drapeau de la Palestine qui allait avec était essentiellement le même que le drapeau israélien d’aujourd’hui, fond blanc avec l’étoile de David bleue au milieu.
Donc, si vous voulez, les palestiniens existent toujours,
il s’agit de l’un de nos surnoms depuis plus de 2000 ans.
Mais du point de vue des arabes appelés palestiniens, c’est plutôt l’histoire des cananéens, et non celle des philistins qui est beaucoup plus intéressante. Comme il ressort clairement de l’histoire de Rahab au moment de la première conquête, les anciens locataires de la terre promise, n’étaient pas non plus très heureux de voir débarquer le peuple israélite. Cependant, d’après les paroles de Rahab, nous savons que l’arrivée et l’intention des israélites de prendre possession du territoire ne leur est pas tombé dessus de manière inattendue.
Les cananéens furent avertis de l’arrivée des juifs et avaient peur, comme nous le lisons dans Josué 2: 9-11 – Yahuwah, je le sais, vous a donné ce pays, la terreur que vous inspirez nous a saisis, et tous les habitants du pays tremblent devant vous.
De nombreuses personnes investissent encore aujourd’hui dans l’immobilier. Ils achètent des studios dans les centres-villes pour permettre à leurs enfants mineurs aujourd’hui d’étudier et de démarrer dans la vie une fois adultes. Jusque-là, ils louent leurs appartements pour amortir leur investissement mais aussi afin que le bien soit entretenu et ne reste pas en jachère. Le même genre de chose se produit avec la Terre Sainte.
Yahuwah parla alors. Il a mis sur le cœur des cananéens que le temps était venu. Certes, ils n’ont certainement pas reçu le message juste le moment venu, lorsque les juifs cernaient déjà Jericho, mais leurs ancêtres devaient déjà en avoir été informés dans le fond de leur âme. Toutes les générations de cananéens qui se sont succédés ont probablement toujours ressenti que cette terre n’était pas la leur, mais qu’ils pouvaient l’utiliser pendant un certain temps. Ils ont dû se sentir étrangers depuis le début. Puis, lorsque le moment est arrivé pour le propriétaire de remettre le bien à son propre enfant devenu adulte, les locataires ont réagi de différentes manières et beaucoup d’entre eux se sont rebellés.
Rien n’a changé depuis. Yahuwah ne rejette pas les arabes. La promesse d’Hagar et d’Ishmaël, dans la mesure où les arabes d’aujourd’hui sont leurs descendants, est tout aussi valable que les promesses faites à Israël. N’oublions pas que nous ne sommes pas un peuple privilégié, mais simplement un peuple élu.
Sanctifiés, mis à part pour le service, pour le service des autres, et non l’inverse.
Cependant, nous avons également le droit au logement, le droit d’avoir un pays quelque part dans le monde.
Dans un sens plus large et dans le Messie, nous attendons aussi avec impatience les arabes dans la famille élargie, d’autant plus que nous sommes aussi parents par le sang. Le Seigneur ne jette pas cruellement les gens dans la rue. La plupart des cananéens ont certainement dû s’installer un peu plus loin, où, ayant fusionnés avec la population locale, leurs descendants actuels font sans doute partie du monde arabe. Ils vivent, seulement ailleurs, différemment, peut-être mieux. Dans un endroit où ils peuvent réellement se sentir chez eux. Peut-être sont-ce justement les descendants des cananéens obéissants d’alors qui aujourd’hui vivent de la richesse provenant du pétrole. Qui sait ?
Le groupe arabe appelé palestinien depuis les années 40 jusqu’à aujourd’hui, ayant habité la Terre Sainte durant ces quelques derniers siècles, aurait certainement de même, reçu une nouvelle demeure, s’il avait obéi. Mais finalement même ceux qui l’ont quitté pour aller s’installer en Jordanie continuent à revendiquer leurs droits sur la Terre Sainte et n’attendent que le feu vert des États du monde pour reprendre possession de ce qu’ils croient leur appartenir.
Ainsi, ceux-ci se mettent sous une malédiction terrible et sont en grand danger à cause de leur persévérance à ne pas restituer ce qui ne leur appartient pas.
Les sentiments du pardon et de la résignation doivent être développés en eux, ainsi que la conviction que si Yahuwah prends quelque chose, il donne toujours autre chose à la place, autre chose de bien meilleur.
Il ne fait aucun doute que l’Esprit de Yahuwah a marché devant les colons juifs de la fin du 19e siècle en passant par la fondation de l’État en 19462 et jusqu’à nos jours. Ainsi, les groupes ethniques qui y vivent, à l’instar des cananéens de l’époque, ont reçu l’ultimatum de restituer le pays et de le passer, non aux juifs, mais à son seul propriétaire légitime, Yahuwah qui a voulu qu’il serve de terre d’accueil pour le peuple juif.
Elohim n’a pas l’intention de jeter, de balayer qui que ce soit. Il aurait pu bénir ce peuple qui cause autant de soucis au monde et lui donner une nouvelle patrie. S’ils avaient obéi, ils auraient récupérer abondamment ailleurs, ce qu’ils ont perdu ici.
Le moment est arrivé et le juif doit rentrer chez lui
pour que les prophéties du rassemblement s’accomplissent en préparation du retour du Messie.
Quiconque s’opposant à ce projet se met en danger de mort.
L’armée israélienne, en revanche, n’a pas saisi l’occasion, il y a 40 ou 50 ans, alors que cela n’aurait encore dérangé personne au monde, à part les arabes eux-même, d’expulser l’intégralité des arabes du territoire d’Israël alors qu’il était encore temps. Et c’est justement ce qui représente cette épine qui nous fait souffrir un peu plus chaque jour. Aujourd’hui, le monde s’attend à ce que nous leur demandions pardon pour toute chose, même pratiquement pour le fait de vouloir éviter leurs coups de couteau. Prendre les armes contre eux suite à des années de provocation et de missiles tirés contre les juifs est devenu un véritable sacrilège que la plupart des nations devenues complètement insensées condamnent aveuglément. Voilà où nous en sommes !
Cependant, je ne nie aucunement que certains arabes subissent parfois des traitements inappropriés. Après tout, dans une situation de guerre, n’importe qui peut péter un plomb à tout moment, comme on dit, et un soldat israélien peut aussi se comporter de manière inhumaine. Cependant, cela n’excuse en rien la présence illégitime et l’attitude rebelle des arabes sur le territoire, de sorte que les excès ultérieurs des soldats juifs, bien que souvent répréhensibles, ne justifient pas leurs droits présumés.
En outre, celui qui provoque de manière incessante ne doit pas s’étonner d’une réaction de défense en retour.
Montrer du doigt après avoir allumé le feu est un comportement particulièrement vil et cynique. Surtout venant de la part de gens qui positionnent leurs bases et leurs armes sous des hôpitaux et des écoles de manière délibérée pour après aller accuser l’armée israélienne de tuer des enfants et des vieillards innocents lorsque celle-ci vient afin de détruire pour ainsi se défendre et prévenir de futurs atrocités.
De plus, une humanité dont l’esprit se base sur un humanisme excessif et démesuré, ne comprendra jamais comment celui qui est visiblement plus fort peut-il avoir raison face à celui qui à l’air complètement démuni.
Elohim les aurait bénis en abondance ailleurs, là où les arabes vivent déjà quelque part dans les millions de kilomètres carrés que représente le monde arabe. Si ma phrase vous fait sourire vérifiez par vous-même: 13 150 000 km², superficie du monde arabe du Maroc à la frontière iranienne, de la Méditerranée à la frontière de l’Afrique noire. Certains diront que la grande partie de ce territoire est un désert inhabitable ? La faute à qui ? Figures-toi que la terre Sainte l’était également tant que ce sont eux qui y habitaient !
Les juifs ont presque miraculeusement transformé une grande partie de la région en une oasis prospère.
Avec un mode de vie approprié et une volonté de vouloir travailler et non de juste sortir faire paître ses chèvres et ses moutons qui finiront par digérer jusqu’au dernier brin d’herbe, l’homme est capable de restaurer et de maintenir un environnement sain.
Je pense qu’il est inutile de discuter sur le caractère mesquin et cupide de cet esprit qui s’obstine à refuser cette petite parcelle de terre de dimension insignifiante à un peuple qui n’a nulle part où aller depuis 2000 ans en protégeant bêtement une soi-disant minorité défavorisée. La superficie actuelle d’Israël est de 21.000 km². Ici vivent 6 millions de juifs et 3 d’arabes. Et on devrait encore faire le partage d’un territoire aussi infime ?
Sachant que le nombre de Juifs officiels toujours dispersés dans le monde est de 12 millions d’âmes supplémentaires, sans compter les descendants des tribus perdues pas encore rassemblées voir même les membres perdus de la tribu de Juda qui sont assimilés et dont le rassemblement est également en cours, en cas de réunification à grande échelle selon les promesses bibliques, nous risquons de nous sentir plus comme des sardines que comme des juifs. En tel cas, les arabes qui s’obstineront toujours à rester finiront par fuir ne serait-ce qu’à cause de l’odeur.
Faux juifs et véritables Khazars ou vice versa
Notre droit fondamental à la Terre découle du fait que nous nous considérons comme étant les descendants de Jacob, principalement de son fils Juda et Benjamin. Cependant, selon certaines théories, la masse juive d’Europe centrale n’est pas de Jacob, mais descendrait des Khazars convertis au judaïsme. Dans un autre article, je développe ce sujet un peu plus en détails. Mais très brièvement, il y a trois possibilités, dont aucune ne peut être exclue. La première est que la théorie est fausse et que nous venons tous de Jacob via Juda. L’autre est que seule la classe dirigeante des khazares se soit convertie au judaïsme, comme le prétendent nombre d’historiens juifs et non juifs.
Le troisième cas, souvent acceptée par des juifs eux-mêmes – historiens et généticiens, est que la théorie est tout à fait juste et que les Juifs de Pologne, Hongrie, Ukraine, Roumanie, jusqu’aux montagnes russes de l’Oural sont en grande partie les descendants de ces Khazars prosélytes.
Et ici, généralement on arrête le raisonnement. Tout à coup, les juifs remis en question restent en silence et préfèrent tourner la page et ne pas examiner plus en profondeur ce sujet si délicat.
Cependant, le territoire khazar se situe à quelques centaines de kilomètres au nord-est du Royaume d’Israël. Quelle coïncidence ! Il s’agit en effet de la direction exacte vers laquelle les 10 tribus ont été déportées. Il est très suspect lorsque quelqu’un ressent une attirance profonde pour le peuple juif, à tel point qu’il ait une envie irrésistible de se convertir au judaïsme.
Ceci n’est pas ce qui se passe dans la plus grande majorité des cas ! Le contact avec les juifs génère généralement tout autre chose que l’attirance. Haine, mépris et hostilité sont les sentiments que notre présence génère dans le cœur des nations et non une quelconque forme de sympathie ou d’attirance.
La relation des Nations avec les Juifs ne reflète généralement pas l’attitude des Khazars, mais plutôt celle des Kozaks.
Dans de nombreux cas, l’attirance s’amorce lorsque des gènes semblables rentrent en contact les uns avec les autres.
C’est un peu cela que Jean le baptiseur – Johanan – a dû ressentir dans le ventre de sa mère lorsque Marie – Myriam – a rendu visite à Elizabeth avec Yeshua dans son ventre.
Cette chose ne m’a pas été révélée, il ne s’agit pas d’une vision prophétique, mais d’un simple raisonnement humain presque mathématique, mais j’ai un fort pressentiment que si la théorie Khazar s’avérait être vraie, il s’avérerait également que les Khazars, au moins une grande partie d’entre eux, ne sont autre que les descendants des 10 tribus déportées. C’est ainsi que s’accomplirait la prophétie du rassemblement, non pas dans les derniers jours au sens qu’on lui donne aujourd’hui, mais durant les derniers jours tels qu’il étaient présentés par Yahushua comme ayant déjà commencé durant sa vie sur terre. Le rassemblement des tribus perdues serait donc en cours depuis près de 2000 ans. Voir également l’article : Le rassemblement des tribus d’Israël.
Il ne resterait aux juifs ashkénazes actuels que de se voir révéler de quel tribu ils viennent réellement. Jusqu’à présent nous pensions descendre de Juda, Benjamin, Siméon, ou même Lévi, puisque ces quatre sont restés, mais il s’avèrera peut-être sous peu que beaucoup d’entre nous qui aurions souhaité être les fils de Rachel devrons nous rendre à l’évidence que nous ne descendons pas même de Léa, mais éventuellement de l’une des deux servantes de ces dernières.
Le fonctionnement de El Shadaï sur le territoire de l’actuel Israël
Que celui qui a encore des doutes sur le fait que l’état d’Israël actuel ait quelque chose à voir avec les prophéties bibliques écrites de longue date, aille voir dans les média et les récits des habitants du pays, de combien de véritables miracles les Juifs d’Israël ont été les témoins depuis la fondation de l’Etat. Prenons seulement le cas le plus courant : les roquettes tirées depuis Gaza. Une quantité inimaginable de roquettes ont été tirées de Gaza vers Israël depuis le début des années 2000. Celles-ci auraient dû faire énormément de victimes. Cependant le nombre de blessés et de morts et même de dégâts matériels est si faible par rapport au nombre d’obus qu’attribuer cela au hasard ne passerait même pas pour une mauvaise blague. Je parle ici naturellement de la période qui a précédé la mise en place du dôme de fer, dispositif de défense automatique contre ces tirs.
Malgré l’apparence et la volonté de la majorité, voulant dépeindre les philistins modernes comme étant des petits David luttant contre le grand Goliath que représente l’armée israélienne,
l’histoire reste cependant la même que sous le règne de Saül.
Israël a beau avoir une énorme force de frappe, être l’armée la plus redoutable du monde, le géant n’en reste pas moins le soi-disant philistin avec son milliard de frères musulmans derrière pour l’appuyer sans compter les nations anciennement chrétiennes ayant renié leur foi et se rassemblant de plus en plus en grand nombre derrière les ennemis de la nation juive.
Le David moderne arrive encore à se défendre seul par sa propre puissance contre Goliath, ses ennemis. Mais bientôt le temps viendra où, comme le David originel, il vaincra l’ennemi une fois pour toute, mais en mettant sa confiance uniquement dans le Seigneur des Armées (El Shadaï)
Le rôle d’Israël dans les derniers temps
Il s’agit du lieu du rassemblement des Juifs, où la véritable identité du Messie leur sera collectivement révélée lorsqu’ils le pleureront comme on pleure un premier-né. Au jour du Yom Kippour final.
L’état d’Israël est aussi l’endroit de prédilection de l’Antéchrist. Car là sera bâti le dernier temple, qui deviendra le trône de l’antéchrist. Ce temple existe-t-il d’ailleurs peut-être déjà, il s’agit peut-être de cette synagogue souterraine déjà présente sous le mont du Temple.Là seront unifiées les religions du monde, et Jérusalem une ville indivisible selon Yahuwah, sera quant-à-elle divisées en trois parties. C’est là que l’image de la bête sera érigée et devant laquelle tous les genoux, ou presque, seront forcés de fléchir, comme au temps de Daniel.
Israël est aussi le lieu où les nations du monde se réuniront pour tenter d’éliminier le peuple juif à Har Meggido ou Armageddon et où Gog et Magog en feront de même 1000 ans plus tard à la fin du Millénium.
Jérusalem est également la ville où les deux témoins devront être mis à mort avant de ressusciter et de retourner aux cieux.
Il serait bien trop long d’énumérer tous les événements qui ne pourraient se réaliser sans le retour du peuple juif en Terre Sainte.
Mais que personne n’aille s’imaginer que le retour du peuple juif en Terre Sainte doit se faire dans la plus grande harmonie et entente entre les peuples ayant égards à toutes les traditions religieuses de la région.
Car tout accouchement s’accompagne de douleurs.
Les prophéties n’annoncent et ne promettent rien de tel. Les prophéties ne contiennent aucune promesse que notre retour répondra aux besoins modernes des chrétiens, des musulmans ou tout autres groupes religieux. Ce qui est écrit est que nous devons retourner et reprendre possession de la Terre que cela plaise à certains ou non, exactement comme à l’époque de la première conquête avec Josué. Celui qui n’arrive pas à faire abstractions de ses sentiments humanistes et de justice humaine tombe dans le piège tendu par l’ennemis : le faire se rebeller contre la volonté et le plan de Yahuwah. Une pareille faute agit tel un poison bloquant la chrétienté et l’empêchant de remplir son rôle primordial aux côtés des juifs dans l’accomplissement des prophéties des derniers temps et où il aurait dû jouer l’un des rôles principaux.
Concernant la minorité chrétienne pro-juive, ces paroles doivent également inciter à la prudence. Car chaque piège a son double, son antithèse, son autre extrême qui est souvent encore plus dangereux que le premier car fonctionnant au nom de l’amour et de la tolérance. Ne défendons pas tout sous prétexte que la chose porte le cachet de juif. Le poison y est tout aussi présent et peut te paralyser dans ton appel au même titre que dans le cas de tes frères judéo-sceptiques.
En Israël, il existe des groupes religieux juifs qui s’efforcent de réaliser et d’accélérer la réalisation des prophéties. Grâce à leurs recherches, ils ont identifié des groupes de personnes à travers le monde qui se considèrent comme des descendants des tribus israélites. De plus, ces groupes partagent certaines coutumes et traditions qui présentent des similitudes avec les préceptes de la religion juive, telles que l’observation du sabbat dès le vendredi soir et la pratique de la séparation des femmes pendant leurs périodes menstruelles, entre autres exemples.
Ce rassemblement revêt une réalité et une légitimité indiscutables, soutenues par la science génétique elle-même, qui confirme la lignée israélite de ces groupes. Ainsi, il ne fait aucun doute que les prophéties se réalisent également de cette manière.
Cependant, il est important de noter que ce que nous percevons représente seulement la partie visible de l’iceberg. Ceci ne sont que les retouches finales du processus. L’identification des individus s’étant retrouvés le plus éloignés ne représentant qu’une infime minorité par rapport au total de la population israélite dispersée. Le rassemblement de l’ensemble du peuple israélite est un processus qui a débuté bien avant, notamment lors de la destruction du sanctuaire par les forces romaines et le début de l’exil final des tribus judéennes restantes.
De qui le peuple juif expulsé il y a 2000 ans était-il constitué ?
Il est peu courant que les gens prennent conscience, et encore moins qu’ils évoquent le fait que lors de la destruction du Sanctuaire et de l’expulsion, non pas deux, mais quatre tribus étaient encore présentes en Judée. Cette nuance historique est souvent négligée dans les discussions.
Siméon n’a pas complètement disparu, mais a bel et bien fusionné avec la tribu de Juda
Siméon a perdu son identité tribale, mais ses membres demeurent toujours parmi nous, faisant partie intégrante du peuple juif. Cette tribu s’est retrouvée au beau milieu du territoire de Judah s’y étant progressivement assimilé au cours des siècles. Au temps de Yeshua leur identité n’était même plus mentionnée.
De manière similaire, cette évolution s’est produite ultérieurement avec la tribu de Benjamin. À partir du moment de l’expulsion, son identité tribale a progressivement perdu de sa vigueur dans la conscience collective et a peu à peu fusionné avec le groupe composé de Juda (y compris Siméon), (le reste de) Lévi et Benjamin lui-même, formant ainsi le groupe ethnoreligieux appelé juif de nos jours.
Les membres de la tribu de Lévi ont été dispersés parmi les autres tribus dès la conquête de Canaan sous la conduite de Josué (Yahushua), conformément à la prophétie et à la promesse annoncées par Jacob. Ils se sont établis dans de nombreuses villes, souvent appelées « villes de refuge ». Par conséquent, les Lévites ont résidé sur les territoires de Siméon, Juda et Benjamin. Il est possible que lors de la déportation des autres tribus (les 10 tribus perdues dont nous parlons ici par les troupes persanes), de nombreux Lévites aient choisi de battre en retrait vers le sud, afin d’échapper à l’exile et ce principalement sur le territoire de Benjamin, qui englobait la ville de Jérusalem.
Il est tout à fait possible que seul un petit nombre de membres des tribus de Lévi aient été emportés avec les dix tribus lors de la déportation, car le nombre de Cohanites parmi les Juifs d’aujourd’hui est en effet considérable. J’ai remarqué que la proportion de cohanites au sein de la communauté juive de Hongrie est particulièrement élevée. Ces derniers sont principalement reconnaissables par la première lettre de leurs noms de famille qui peut être un « k-« , un « c-« , ou un « cs-« . Il a toujours été de tradition que les lévites et surtout les cohanites gardent le signe de leur appartenance à la lignée sacerdotale en sauvegardant l’initiale de leur rang lorsqu’ils prenaient un nom étranger durant leur exile. (lettre « L » dans le cas des simples lévites). Il est également plausible que les Cohanites, en tant que lignée sacerdotale, aient reçu une bénédiction particulière de l’Éternel en termes de descendance, ce qui aurait contribué à une augmentation plus marquée de leur nombre au cours des 2000 dernières années par rapport aux autres tribus. Je n’ai pas de connaissance ou de vision directe à ce sujet, mais j’ai moi-même observé ces tendances.
10 tribus ont pourtant bien disparu !
Comme nous pouvons le voir, au moins 3 tribus ont perdurées presque dans leur intégralité jusqu’à ce jour, elles ont simplement fusionné les unes avec les autres, donc personne au sein de la communauté juive contemporaine ne peut encore savoir précisément s’il descend de, Benjamin ou Siméon. Mais alors, s’il reste réellement 4 tribus – le 4e étant le reste de Lévi comprenant également les Cohanites mentionnés plus haut – alors pourquoi Yahuwah lui-même parle-t-il de 10 tribus « perdues » au travers des prophètes ?
Il faut bien se rappeler que la tribu de Joseph s’est scinder en deux formant ainsi les deux tribus dérivées d’Éphraïm et de Manassé.
Ainsi, nous ne parlons plus de 12, mais de 13 tribus.
En outre, Menassé lui-même s’est divisé en deux sur les rives du Jourdain. Une partie de la tribu resta sur la rive orientale du fleuve avec les tribus de Gad et Ruben, tandis que l’autre partie traversa le Jourdain et occupa la place qui lui revint en Terre Sainte.
Ainsi, des 12 tribus, une s’est subdivisée en deux dont l’une s’est également fractionnée en deux sous-ensembles, ce qui nous fait un total de 14 groupes.
De cette façon, la communauté juive contemporaine comprenant l’intégralité de Benjamin et de Juda, en plus de Siméon et du reste de Lévi à leurs côtés, il existe véritablement 10 tribus réparties dans le monde et qui attendent d’être rassemblées. Plus précisément, la réunification est en cours de réalisation depuis bien longtemps, mais de manière inaperçue. L’accomplissement de ces prophéties n’a pas été initié par les rabbins contemporains, mais perdure depuis 2000 ans suite à la mort, à la résurrection et à l’ascenssion de Yeshua, le dernier et ultime Grand Rabbin selon l’ordre de Melkishédeck!
Un processus vieux de 2000 ans ?
Je pense que les groupes qui ont rejoint le peuple juif, composé à l’origine de Juda-Siméon-Benjamin-Lévi, au fil des siècles, qu’il s’agisse de tribus, voire éventuellement de peuples entiers, pourraient facilement s’averer être les descendants des 10 tribus déportées par les Perses vers le nord-est du Royaume d’Israël.
Il est intéressant de noter que selon les enseignements des « sages » d’Israël, à la suite du retour du Peuple en Terre Sainte, chaque Juif découvrira de quelle tribu il est personnellement le descendant. Cette prophétie est issue du Talmud, et bien qu’elle ne soit pas directement issue de la Tanach (l’Ancien Testament), elle semble avoir une dimension prophétique et pourrait fort bien se réaliser dans le monde visible dans un avenir proche.
Le sang israélite, tout comme toute autre lignée, semble avoir cette capacité à créer un lien spirituel entre ceux qui partagent cette ascendance commune. Beaucoup ont certainement vécu l’expérience de reconnaître instinctivement, même sans parler, ceux qui partagent leurs origines lorsqu’ils se trouvaient à l’étranger. Nous ressentons souvent une attraction, une affinité naturelle envers les personnes de la même origine ethnique ou culturelle. Plutôt que de qualifier cela de chauvinisme, il est plus approprié de le décrire comme un esprit communautaire ou familial, car ce sentiment ne devrait pas nécessairement conduire au rejet ou au mépris envers d’autres groupes ethniques et culturels. Ainsi, lorsque nous rencontrons un compatriote à l’étranger, nous sommes souvent animés d’un enthousiasme particulier, bien plus que si nous nous étions rencontrés sur notre propre terre d’origine.
Le sang agit comme un aimant.
De la même manière qu’un aimant attire des objets faits de matériaux similaires,
les Israélites ont été attirés, au cours de leurs pérégrinations de plus de 2800 ans, par l’aimant mobile appelé Juda et qui est en exil depuis 2000 ans.
Ces particules réannexées font depuis lors partie intégrante du groupe ethnique connu aujourd’hui sous le nom collectif de Juifs. Nous n’avons tout simplement aucune idée de leur identité tribale originale et plus précise. Il semble que ce que nous appelons communément les Juifs aujourd’hui ne représentent pas uniquement la tribu de Juda (y compris Benjamin, Lévi et Siméon), mais plutôt les descendants de toutes les tribus, au-delà de la seule tribu de Juda.
Théorie des Khazars
Il est important de noter que la théorie khazare est une idée souvent évoquée par les antisémites. Selon cette théorie, les Juifs d’Europe centrale et orientale ne seraient pas les descendants des Israélites des tribus de Judée, mais plutôt la progéniture d’un peuple païen qui aurait été judaïsée dans l’ancien empire Khazar, un peuple scythe.
La génétique qui s’est développée depuis lors n’a malheureusement pas non plus été capable mettre cette question au clair de manière unanime. Les généticiens juifs sont eux-mêmes divisés quant à savoir si les composants trouvés dans l’ADN des Juifs des régions germano-autrichiennes-polonaises-hongroises-roumaines-bulgares-ukrainiennes-russes-lituaniennes indiquent et prouvent réellement des origine israélite ou non.
J’ai moi-même beaucoup entendu parler des théories Khazars, qui suggèrent que ce groupe ethnique scythe a adopté le judaïsme à un certain moment de son histoire, notamment pendant la chute de l’Empire romain.
De nombreuses personnes pensent que même si la conversion des Khazars a eu lieu, elle a principalement touché la couche dirigeante et la noblesse khazar, sans se répandre dans la population générale.
Il n’est pourtan pas exclu que
les antisémites aient raison et que mes propres ancêtres juifs ont plus à voir avec le peuple Khazar qu’avec la tribu de Juda.
Cependant, la conversion des Khazars n’est peut-être pas accidentelle. Voyons, qui sont ces Khazars, où était situé leur empire ? Quelque part entre le territoire de la Turquie actuelle et de l’Arménie, au nord-est d’Israël. La zone exacte où les Perses ont déporté les tribus.
Le livre « la Treizième Tribu » écrit par le juif hongrois Arthur Koestler a peut-être touché l’essentiel. La tentative de Koestler de suicider l’esprit juif – et donc ainsi le sien par la même occasion – pourrait prendre une tournure prophétique et nous révéler une vérité très inattendue dans un avenir proche.
Peut-être que le nom actuel de l’État juif moderne, Israël, qui a été voté principalement par les survivants juifs européens ashkénazes de l’Holocauste, ferait de manière inconsciente également référence prophétiquement à cette origine israélite ? Il aurait été plus logique de donner à nouveau à cette région le nom de Judée, qui était le nom utilisé avant que les restes du peuple élu ne soient exilés de l’endroit. Ils ont malgré tout choisi le nom d’Israël.
Il y a de fortes chances que la région appelée plus tard Khazarie ait été le lieu de rassemblement vers lequel les Perses ont exilés les tribus israélites lors de leur déportation
À partir de là, certains groupes ont continué leur chemin dans l’exil, comme en témoignent les petites communautés d’origine israélite apparues dans toute l’Asie et en Afrique découvertes au cours des dernières décennies.
L’irrationalité de la conversion des Khazars
La plupart des historiens nous content que les Khazars se sont vu obligés selon eux de faire un choix et d’adopter l’une des trois grandes religion monothéiste pour des raisons diplomatiques. Et comme d’un côté se trouvait le monde chrétien avec lequel ils n’entretenaient pas de trop bonnes relations et que de l’autre se trouvait le monde islamique qui n’était pas beaucoup plus sympathique à leurs yeux que le premier, ils auraient en tout bonne logique, choisi la religion juive, sorte de choix diplomatique de neutralité et de status-quo.
Quelle idée stupide a bien pu faire émerger ce genre de théorie dans l’esprit des historiens ? Pourquoi auraient-ils eu intérêt à prendre une petite religion insignifiante et extrêmement vulnérable militairement parlant par rapport aux deux grandes puissances précédemment mentionnée ? Surtout sachant l’animosité qui caractérise ces deux esprits (chrétienté dénominationnelle et islam) par rapport au peuple du livre originellement élu dont chacun voudrait prendre le statut jusqu’á aujourd’hui, sa place en tant que premier-né dans la famille – Ésaü et Ishmaël ?
Pourquoi les Khazars n’auraient-il pas pu se permettre de simplement préserver leur religion païenne et ne rien changer. Quite à devoir subir la pression des deux côtés, autant que cela soit à cause du paganisme qu’à cause d’une religion encore plus compromettante face à ces deux grandes puissances montantes.
Sans parler du fait, que ces Khazars sont les cousins des Huns, des Magyars, des Tatars, etc, donc un peuple extrêmement guerrier, puissant et riche. Rien qu’à entendre de leur nom, les peuples avoisinants faisaient dans leurs culottes. De tels guerriers au sommet de leur puissance auraient-ils vraiment été contraints d’adopter une nouvelle religion pour des raisons politiques ? J’en doute fortement. Et même en cas d’affaiblissement, ce genre de tribu préfère choisir la mort que la soumission, un peu comme les indiens d’Amérique du nord – qui au passage sont aussi d’une lignée sanguine proche – et qui n’ont jamais pu être réduis en esclavage et ont préféré se battre pratiquement jusqu’au dernier plutôt que de se soumettre à l’homme blanc.
Non ! Si les Khazars se sont réellement convertis au judaïsme, cela devait avoir de toutes autres raisons. Celles que je viens de décrire précédemment, ainsi que dans deux autres de mes enseignements Antisémitisme et antichrétienté, ainsi qu’État d’Israël et Sionisme.
Imaginez un peuple barbare au sommet de sa gloire, de sa richesse et de sa puissance chez qui débarque une poignée de judéens exilés de leur terres. Ces judéens vêtus modestement, se présentent devant ces princes en vêtements d’aparats et ces derniers ne trouvent rien d’autre à faire et à ressentir qu’une profonde envie de se convertir à la religion de ces loosers dont même le temple a été détruit !? Y a-t-il la moindre once de rationalisme dans une telle histoire ? As-t-on jamais vu une telle chose se produire dans l’histoire de l’humanité, si ce n’est dans des pièces ou des films burlesques ? C’est comme si à la vue des migrants aujourd’hui Orbán Viktor ressentirait une irresistible envie de quitter son poste de premier ministre hongrois, de se convertir à l’islam et de prendre la route et habiter dans des camps de l’autre coté de la barrière de fer qu’il a lui-même fait construire.
Et si ma théorie peut paraitre aussi débile qu’un sketch d’Eric et Ramzi, je ne peux malgré tout rien dire d’autre que ce que ces derniers dirent à la fin de chacun de leurs numéros en guise de conclusion : « Nous n’avons pas d’autre explication! »
Autres « tribus »
J’ai aussi de sérieux soupçons concernant certains peuples et groupes ethniques qui vivent encore aujourd’hui dans la région du Caucase et de l’Arabie du Nord, en raison de leur situation, ainsi que du degré de persécution qu’ils subissent.
Pourquoi les Turcs détestent-ils tellement les Arméniens au point de commettre un génocide contre eux, et même aujourd’hui, un quartier de Jérusalem est appelé le quartier arménien, du nom des colons arméniens chrétiens qui ont fui la violence turque.
Mais on pourrait aussi évoquer les Kurdes, qui ne peuvent être classés et ne trouvent leur place nulle part. Malgré leur foi et leur religion musulmanes, ils entretiennent de très bonnes relations avec l’État juif moderne. Et certainement pas uniquement parce qu’ils y obtiennent leurs armes pour se défendre contre les Turcs mentionnés précédemment, même si cette forme de collaboration renforce évidemment leur sympathie envers les juifs.
Les Arabes du Moyen-Orient, connus sous le nom de Palestiniens, pourraient également réserver des surprises. Il m’est déjà arrivé plus d’une fois de confondre un Arabe palestinien avec un Juif (et vice versa). Selon certains historiens, les Palestiniens étaient autrefois des Israélites rapatriés qui ont depuis été assimilés par l’Islam, perdant ainsi leur identité. Il est important de noter que cela ne s’applique certainement pas à l’ensemble de la population, mais seulement à une partie des individus identifiés collectivement comme étant Palestiniens.
On pourrait également mentionner les Druzes et les Samaritains, qui revendiquent essentiellement une origine israélite, mais qui continuent à faire bande à part.
Il existe également le cas du groupe ethnique afghan pachtoune, qui se considère traditionnellement comme descendant des tribus israélites, du moins pour la majorité d’entre-eux. Parmi les talibans, de nombreux combattants sont d’origine pachtoune, et ils portent à la fois une conscience israélite et une adhésion à l’islamisme extrémiste. Ils ne révèlent peut-être pas leur ascendance israélite à leurs compatriotes non pachtounes, pour des raisons évidentes, mais la plupart en sont conscients, que cela leur plaise ou non.
La tribu perdue de Juda
Nous oublions aussi souvent le petit fait que, bien que la tribu de Juda soit celle qui ait le mieux survécu à travers les âges n’ayant jamais perdu son identité globale, il existe encore des individus séparés de la tribu de Juda, voire des groupes entiers, qui ont perdu leur lien avec leur tribu ou leur peuple pendant un certain temps, et donc leur identité a également été oubliée.
C’est très probablement le cas des Sabéens/Mandéens, un groupe ethno-religieux composé de 200 à 300 000 membres, principalement établi en Irak, mais actuellement contraint à l’exile (surtout en Suède). Les Sabéens étaient à l’origine un groupe de Judaïtes qui étaient restés à Babylone, s’opposant non seulement au retour en Terre Sainte, mais exprimant également le désir de changer de religion et d’identité. Ceci est la position officielle des historiens arabes concernant ce peuple. Ils furent ensuite rejoints par les disciples de Jean-Baptiste, qui fuirent la Judée après que la tête de Jean ait été prise par Hérode. Ils ont subitement disparus du récit du Nouveau Testament et personne ne sait vraiment ce qui leur est arrivé. La plupart des historiens et des théologiens peuvent considérer qu’il soit logique qu’ils aient pu rejoindre les disciples de Yeshua, mais les Sabéens eux-mêmes rapportent que ces disciples n’ont pas rejoints ces derniers, mais ont fui vers le territoire de Babylonie, où ils ont rejoint les Sabéens après un certain temps. Connaissant personnellement une poignée de sabéens d’Irak, ces informations me sont parvenus directement d’eux.
À l’autre extrémité de l’Europe, des recherches génétiques ont révélé que près d’un cinquième de la population actuelle de la péninsule ibérique serait issue de Juifs ayant été forcés de se convertir au catholicisme durant l’Inquisition.
Sans évoquer les nombreux Juifs assimilés qui ne connaissent pas leur identité ou la nient, ou pour qui cette question est déjà résolue ou le sera dans un avenir proche. Pour ces individus, le fait d’appartenir à la lignée israélite peut parfois susciter des résistances, de la honte, voire une haine ouverte envers les Juifs.
La fausse théorie des Hébreux noirs israélites
Il s’agit d’un phénomène diffus et destructeur qui cause de grands dégâts dans le monde des afro-américains, mais qui a déjà ses adeptes même en Afrique. Les Israélites noirs hébreux forment un mouvement dont les adeptes croient être les véritables descendants des Israélites de la Bible. Cette communauté s’est développée parmi les Afro-Américains aux États-Unis, il y a plus d’un siècle. Les membres du mouvement affirment souvent que les Africains noirs sont les premiers Israélites et qu’ils doivent revenir à leurs anciennes racines religieuses et culturelles juives.
La majorité de leurs partisans croient que les Juifs ashkénazes et sépharades ne sont pas les descendants des premiers Israélites, mais des colons ultérieurs ou des prosélytes convertis. Selon eux, les véritables Israélites sont les peuples noirs d’Afrique, en particulier ceux déportés en Amérique au sein de la diaspora africaine. Ils soutiennent ceci sur la base des prophéties selon lesquelles « dans les derniers jours, il (Yahuwah) ramènera les fils et les filles d’Israël des quatre coins de la terre sur des bateaux ». Ils interprètent cela comme une prophétie réalisée lors de la traite négrière africaine, prouvant qu’il s’agit d’eux et qu’ils sont les véritables Israélites.
Eh bien, les prophéties disent exactement le contraire. Elles annoncent que Yahuwah ramène les tribus perdues de l’esclavage et de la captivité à la liberté, et non l’inverse. Mais ceci n’est qu’une parmi les nombreuses contradictions. Je ne veux même pas en discuter ici. Je signale simplement, à titre d’avertissement, la fausseté de cette théorie. Ceux qui en sont les captifs doivent impérativement en sortir et non par bateau, mais principalement dans un sens spirituel.
Essentiellement, le sentiment de supériorité noir et une fausse identité, une fausse élection qui s’est développée dans l’esprit meurtri de ceux qui ont été réduis en esclavage durant des siècles en une forme de compensation pour les blessures qu’ils on subis de la main de l’homme blanc.
Il ne s’agit de rien d’autre que d’une forme moderne de théologie du remplacement taillée sur mesure pour les Noirs, dont le seul objectif n’est pas la destruction du véritable Israël, mais principalement l’anéantissement definitif de l’identité, mais aussi de l’esprit de ceux qui adhèrent à cette théorie.
Leurs affirmations selon lesquelles ils sont les vrais Juifs sont principalement basées sur le verset suivant du Deutéronome et qu’ils n’ont cesse de citer : « Et Yahuwah te ramènera sur des navires en Égypte, et tu feras ce chemin dont je t’avais dit: Tu ne le reverras plus! Là, vous vous offrirez en vente à vos ennemis, comme esclaves et comme servantes; et il n’y aura personne pour vous acheter. » Deutéronome 28:68
Mais ici, la question se pose : peuvent-ils lire l’anglais ou toute autre traduction s’ils parlent également d’autres langues, y compris l’hébreu ? L’un d’entre eux a-t-il été ramené en « Égypte » jusqu’à ce jour, essayant de se vendre à la population locale sans succès ? Ils ont été amenés en Amérique, où malheureusement les gens voulaient justement en faire leurs esclaves et ils ont réussi. Les Juifs de la diaspora quant à eux se sont bel et bien retrouvés à nouveau en « Égypte », dans la diaspora du monde, mais personne n’a voulu de nous. Nous avons essayé de nous assimiler et de faire partie de leurs nations pendant 2000 ans, mais sans succès. Tôt ou tard, ils finissent par nous expulser, voire nous tuer. Ceci est un fait historique ! De plus, plusieurs prophéties concernant le rassemblement du peuple élu parlent de son retour sur des chameaux, des navires et des chars à Jérusalem, en Terre Sainte, depuis les quatre coins de la terre. RETOUR en Terre Sainte et non en Égypte ! Cela est visible depuis le milieu du XIXe siècle et surtout depuis 1948, lorsque l’État d’Israël renaît.
Non seulement il n’y a aucune base historique à cette question, mais l’accomplissement des signes, des miracles et des prophéties vécus au cours des siècles, et surtout au siècle dernier, confirme tout, sauf ce qu’ils prétendent. La main d’Elohim porte et protège de manière si spectaculaire l’identité du vrai judaïsme, qu’il est inconcevable qu’il s’agisse de faux israëlites, comme je l’explique dans mes vidéos Antisémitisme et antichrétienté, ainsi qu’État d’Israël et Sionisme.
En outre, ces gens n’ont-ils pas lu les récits du Quantique des quantiques, du livre des Rois, de Samuel ou des chroniques. Lorsque la reine de Saba elle-même demande avec un certain complexe d’inferiorité que les filles de Jérusalem ne sourient pas à la vue de la couleur de sa peau, etc… Ainsi que la description de David lorsque Samuel l’appercoit pour la premiere fois? Cheveux roux, teint rosé etc…?Aucune trace de peau noir, de cheveux crépus ou de quoi que ce soit qui pourrait supposer que David ait été un africain.
Plus tard Salomon son fils a eu des enfants avec cette reine de Saba, qui eux se sont retrouvés en ethiopie et dont les descandants ont depuis également rejoint le territoire de l’État Juif moderne.
Permettez-moi d’adresser un message personnel à ces personnes qui croient en ce faux enseignement du culte israélite noir hébreu : Encore une fois, comme je l’ai commenté à certains d’entre vous, sous ma vidéo anglaise concernant la Synagogue de Satan, vous ne devriez pas vouloir devenir juifs en prenant la place des vrais – mais si parmi nous figurent également certains qui appartiennent à cette fausse synagogue car ayant un cœur de mécréant). Les noirs pouvez également devenir le peuple élu d’Elohim en acceptant enfin le Sang de l’Agneau, en naissant de nouveau et en recevant Ruach HaKodesh (l’Esprit Saint). Et ceci non au niveau théorique, mais de manière réelle, lorsque les signes et les prodiges témoigneront de votre état spirituel né de nouveau. Tant que vous adhérés à une fausse identité et recherchez votre salut par vos actes en voulant accomplir la Loi par vous-même dans la chair et non en acceptant l’accomplissement des Commandements par le Messie et dans vos cœurs, vous demeurerez dans les ténèbres et la mort. Sans parler de votre déclaration complètement satanique qui consiste à exclure du salut tout ceux qui n’appartient pas à votre lignée sanguine ! Je peux comprendre votre animosité envers les blancs, et vous conseille ainsi de contacter des frères afro-américains nés de nouveau dans votre entourage et de leur demander de ne pas vous prêcher, mais de prier pour vous, de prier pour que vous receviez le Saint-Esprit, pour que vous vous en remplissiez, pour que vous parliez en langues que vous prophétisiez, afin que vos yeux soient enfin ouverts à la vérité de Yeshua. Passez par le baptême d’Eau et de Feu et recherchez des serviteurs d’Elohim noirs nés de nouveau qui peuvent vous aider à sortir de ces ténèbres. Là vous pourrez aussi et enfin pardonner aux blancs pour tout le mal qu’ils vous ont infligé. Je mettrai ci-dessous un lien où vous pourrez trouver des personnes dans votre environnement qui ne vous amèneront non sous le joug d’une église humaine institutionnelle, mais dans la Sainte Église, le Corps de Yahushua.
Comme nous le verrons dans ce qui suit, il existe des Israélites à la peau noire, mais cette lignée ne s’applique pas à toutes les personnes à la peau noire, ni à celles qui ont été déportées en Amérique comme esclaves. Les Juifs à la peau noire sont à l’origine des Sémites devenus noirs par brassage et mutations au fil des millénaires et non l’inverse. Tous les anthropologues et biologistes savent de toute façon que la couleur de la peau n’est pas le principal critère qui définit une lignée sanguine.
Rassemblement en cours en Israël
Le rassemblement se déroule à un niveau différent et plus officiel, pourrait-on dire, comme je l’explique au début. Il existe des groupes religieux israéliens qui entreprennent des recherches à travers le monde à la recherche des descendants des tribus perdues, en se basant sur des données historiques et génétiques. Ainsi, on peut lire que des dizaines de Benei Menasse (fils de Menasse), découverts quelque part en Asie centrale, ont été ramenés de Chine à Eretz. Les membres des autres tribus sont également retrouvés en Afrique noire, notamment au Soudan, en Côte d’Ivoire et en Afrique du Sud. Ces groupes ont vécu en marge de la société pendant des siècles, observant à la fois des coutumes juives talmudiques, ainsi que des décrets mosaïques originaux. Il est donc intéressant de noter qu’ils ont intégré des éléments judaïques post-babyloniens, dont l’origine demeure quelque peu obscure. Pour les juifs traditionnels, ce dernier point est interprété comme une confirmation que la doctrine orale ne provient pas de Babylone, mais fait partie de la révélation reçue par Moïse directement de l’Éternel sur le mont Sinaï. Selon moi, il est clair qu’au fil des siècles, ces groupes ont rencontré des juifs itinérants qui leur ont transmis les « réformes », ce qui ne prouve en rien l’inspiration divine de la littérature talmudique ajoutée à la Torah. Mais ceci n’est pas l’objet de cet article.
Il est intéressant de noter que la lignée de ces Israélites en Asie et en Afrique remonte effectivement à Jacob, et même au sein de chaque groupe ethnique, on peut trouver des descendants d’Aaron, des Cohanim. Cela est confirmé par la génétique elle-même.
C’est ainsi que nous rencontrons des gens qui n’étaient pas parmi nous jusqu’à présent et qui sont des Israélites ressemblant à de parfaits Africains noirs, à des Indiens ou à des Asiatiques aux yeux bridés.
Il est indéniable que le rassemblement est en cours et se poursuit à ce niveau également. Cependant, en se basant sur les prophéties qui évoquent le rassemblement du peuple dans les derniers temps, il est important de noter que cela ne se limite pas aux dernières décennies ou années. Les « derniers temps » font référence à l’ère qui a débuté au temps de notre Messie. En effet, sur la base de ces révélations, Yeshua a fait remarquer à ses contemporains que les derniers temps avaient déjà commencé.
Ces plus de 2000 ans de période de grâce sont les derniers temps durant lesquels le rassemblement des tribus israélites se déroule de manière inaperçue.
De nombreux individus, y compris des chrétiens et des militants palestiniens, tentent d’associer les Juifs revenant en Israël, en particulier en provenance d’Europe de l’Est, avec les « faux Juifs » mentionnés dans le Livre de l’Apocalypse, souvent désignés comme la « synagogue de Satan ». Je traite de ce sujet dans un autre enseignement, et il est vrai que de nombreux Juifs authentiques d’origine peuvent être inclus dans ce groupe. Cependant, de plus en plus d’indices suggèrent que les Khazars pourraient également être les descendants des Israélites déportés, et que les masses de Juifs européens qui se sont installées en Israël n’attendent tout bonnement que leur identité tribale d’origine leur soit enfin révélé.
Comme je l’explique ailleurs, l’appartenance à la « synagogue de Satan » ne concerne que ceux dont l’esprit a été tellement corrompu qu’ils servent les intérêts de Satan tout en se cachant derrière une identité juive. Les adeptes juifs de Satan, bien qu’ils puissent être présents dans le sionisme, l’orthodoxie juive, voire même le christianisme, ne représentent pas l’ensemble des individus classés en tant que juifs.
L’importance de reconnaître les signes
Il est important de signaler lorsque certaines prophéties, attendues par de nombreux croyants, sont déjà en cours de réalisation. En effet, lorsqu’une prophétie est en train de se concrétiser ou a déjà eu lieu, il est essentiel que ceux qui l’attendent la reconnaissent, car cela peut avoir des implications sur la compréhension des signes ultérieurs et de l’émergence d’autres prophéties. Si l’on ne reconnaît pas les processus en cours comme des événements prophétiques, car on s’attend à quelque chose de différent dans le futur, alors on risque de passer à côté des manifestations des prophéties suivantes.
La renaissance de l’État juif est un signe crucial, mais il est encore plus significatif de comprendre que toutes les tribus juives sont déjà en train de se rassembler à l’intérieur de cet État. Cela nous permet de saisir à quel point les temps sont proches.
Comme par exemple et entre autres le fait que l’Antéchrist est non seulement présent quelque part dans le monde, mais il est également possible d’identifier qui il est de manière très précise. De plus, il est intéressant de se demander sous quelle forme et sous quel titre le traité de 7 ans, mentionné dans Daniel, sera confirmé avec les nations.: Sommet sur le climat, Cop 28, Roi Charles III.
Ce dernier se dévoilera bientôt au monde prétendant être le descendant du roi David, afin de tromper une partie importante des Juifs qui l’accepteront en tant que Messie. Nous devons savoir qu’il n’est pas non-plus descendant de Judah, mais bien de la tribu de Dan, comme les prophéties concernant l’antéchrist nous l’annoncent. Et selon beaucoup d’historiens, de nombreux membres de la tribu de Dan se sont installés au cours de l’histoire sur le territoire du Pays de Galles, dont l’Antéchrist était encore très récemment le prince durant des décennies.
Cela est d’autant plus important parce que lorsque nous attendons qu’une prophétie se réalise et que nous ne nous rendons pas compte qu’elle est déjà en cours, voire très avancée, nous risquons de ne pas reconnaître l’émergeance des événements suivants, car nous n’acceptons pas encore leur actualité.
Un autre rassemblement en cours
Entre-temps, le rassemblement d’un autre peuple, le Corps du Messie, c’est-à-dire l’Église composée du peuple symboliquement caractérisé dans les prophéties par le nom d’Éphraïm, se poursuit et arrive bientôt à sa fin. Contrairement à ce que beaucoup ont entendu et appris, Juda ne représente pas l’ensemble des Juifs, tandis qu’Israël représenterait de manière symbolique les Nations. Juda fait référence aux tribus du sud, tandis qu’Israël désigne les tribus israélites du nord un point c’est tout. Il ne faut pas compliquer les choses. Les Nations sont mentionnées de manière symbolique dans les prophéties par Ephraïm, l’un des fils de Yossef (préfiguration de Yeshua) et qui fut adopté par Yaakov (Jacob) tout comme le Père adopte les fils des Nations qui acceptent l’Alliance avec Yeshua.
Si tu n’es pas d’origine juive et que tu n’as pas encore conclu d’alliance avec Christ, sache que dans la chronologie de la promesse de rassemblement, Juda et Israël ne sont pas encore au premier plan, mais bien vous, les Nations ! Grâce à la mort de Yeshua sur la croix, ton rassemblement dure depuis 2000 ans également, une période qui touchera bientôt à sa fin, peut-être dans quelques années, voire quelques mois seulement. Nous ne voulons pas que tu te retrouves laissé de côté, alors cesse de continuer à rejeter l’Évangile qui t’a sûrement déjà été prêché à de nombreuses reprises.
Et si tu es d’origine juive, la même invitation te concerne. Bien que tu aies encore un peu de temps pour envisager ta conversion, il est essentiel de noter que lorsque tout le peuple reconnaîtra finalement Yeshua comme le Messie, conformément à la promesse, le fait d’avoir su déjà à l’avance et d’avoir retardé ta soumission, pourrait être perçu comme de la rébellion, voire de la tiédeur. Il serait préférable pour toi d’abandonner dès que possible les fausses traditions judaïques talmudiques qui continuent de nier l’identité du véritable Messie. Car si tu as déjà commencé à reconnaître l’identité du Messie en toi et que tu hésites à faire le pas par crainte d’être rejeté par ta communauté et ta famille, traverser la période de tribulation qui s’annonce pourrait s’avérer beaucoup plus compliqué pour toi. Il est également crucial de rappeler que
l’Alliance et la protection, s’applique uniquement à ceux qui osent prononcer et confesser le nom de celui en qui ils croient : Yeshua
C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux; mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux.Matthieu 10:32-33
Cela s’applique à tous les fils d’Adam : il faut d’abord reconnaître notre état de péché, le rejeter avec dégoût, puis accepter la personne du Sauveur pour retrouver notre Shalom, notre paix avec le Père. Ensuite, Ruach HaKodesh, le Saint-Esprit, remplit nos âmes et notre sanctification commence. C’est ainsi que nous recevons la vie éternelle par le sang de l’Agneau d’Elohim : Yahushua.
Le titre peut sembler particulier étant donné que les deux sujets ne sont pas très souvent abordés ensemble, le second l’est même assez rarement. Pour moi, il n’est pas uniquement important d’examiner les deux concepts simultanément parce que j’appartiens aux deux groupes en même temps, mais plutôt parce que l’ennemi attaque de plus en plus tout ce qui appartient à Elohim. Et dès lors que les deux Peuples concernés sont tous deux Élus, il en découle que Satan est en lutte perpétuelle contre les deux en parallèle.
Dans l’analyse de l’antisémitisme, les deux parties, antisémites comme antifascistes, tombent dans l’erreur dès le départ. Ils examinent le problème d’un point de vue humain, social, historique, politique et économique. Mais même lorsque le sujet est abordé du point de vue religieux, l’analyse reste très incomplète.
Chez les juifs comme partout, il existe de bons comme de mauvais exemples.
L’une des parties met l’accent sur les côtés positifs tandis que l’autre se concentre uniquement sur le côté négatif du peuple élu. Chacun guidé par ses propres intérêts. Il serait grand temps d’entendre les opinions de personnes qui ne sont ni motivées par la haine ni par une admiration fausse et excessive du Juif, mais dont la seule et unique motivation est la recherche de la Vérité.
L’antisémitisme est un sujet très abordé, même beaucoup trop. Cette surabondance aggrave précisément la situation. Car peu importe la haine que nous avons rencontrée tout au long de notre histoire, les « lamentations » juives continuelles dont nous pouvons être les témoins surtout depuis années 1990 à nos jours, ne servent pas la mémoire des martyrs et notre propre meilleur avenir, au contraire. En tant que juif, il m’est difficile de comprendre la raison pour laquelle certains parmi nous se sentent obligés d’exhiber nos douleurs à ce point. Pourquoi devons-nous jeter nos perles devant les pourceaux pour ensuite nous étonner qu’ils les piétinent et nous avec. Par le mot pourceau, j’entends ces mauvais esprits qui conduisent de nombreuses personnes à la haine des juifs.
De plus, il y a d’autres Holocaustes dans l’histoire qui ont précédé le nôtreet qui ont été presque aussi dévastateurs. Quand a-t-on jamais tourné un film sur l’extermination des Arméniens par les Turcs, ou sur les 5 millions d’Africains exterminés au Congo belge, même si ceux-ci n’ont pas été les victimes d’une machination haineuse préméditée, mais plutôt des divagations d’un roi insensé ? Mais je pourrais aussi mentionner peut-être le premier et le plus ancien génocide commis en Europe, lorsque les 2/3 de l’ancienne population hongroise a été éliminée par la même épée turque au cours du XVIe siècle ?
Nous pouvons beaucoup lire sur les racines et les causes de l’antisémitisme. Les articles reflètent toujours les intérêts de l’une ou l’autre des parties de manière unilatérale. Du côté antisémite, bien sûr, ils relativisent le phénomène et tentent de prouver sa légitimité. De l’autre côté, la moindre critique contre notre peuple est considérée comme une attaque antisémite. Beaucoup peuvent penser que moi-même, en tant que juif, et en raison de la nature de notre site, je me positionnerai du côté de cette dernière catégorie. Ce ne sera pas le cas.
Pour ma part, comme pour tous les autres sujets, la Vérité de Yahuwah est la seule norme selon laquelle j’ose examiner et déclarer quoi que ce soit. Le sujet de l’antisémitisme, tel qu’il est servi aujourd’hui, induit en erreur et creuse l’écart séparant les deux parties. Pour avoir une vision claire concernant le sujet, seule la perspective de Yahuwah peut être prise en compte. Nous devons sortir de cette cécité bilatérale droite / gauche qui voile la vérité sur la nature du peuple juif. Un extrémisme nourrit et renforce toujours l’autre en une spirale sans fin qui doit être stoppé un jour.
La racine de l’antisémitisme
La véritable et unique racine de l’antisémitisme est Satan lui-même.
Pas la peine d’aller chercher plus loin et perdre son temps sur les détails. Car tout ce que Elohim possède, l’ennemi le déteste et tente de se l’accaparer afin de l’emporter avec lui dans la perdition. Ainsi, les deux peuples élus – le premier-né, le juif, et le second, les chrétiens dignes de ce nom, tous ceux qui sont nés de nouveau dans le Messie, sont les deux groupes de personnes que Satan attaque principalement et tente de s’exproprier. Il essaie également de tourner les deux peuples l’un contre l’autre et d’en faire un sujet de dégoût aux yeux des externes. Il les déteste plus que tout et fait en sorte que tu les détestes également. Si tu fais partie de l’un des deux, il s’efforcera de te faire haïr l’autre.
Peuple élu de Satan
Comme Satan essaie toujours de voler tout ce qui appartient à Elohim, personne ne doit s’étonner que si le peuple juif est le peuple élu d’Elohim, il est automatiquement aussi le peuple élu de Satan. Cela signifie que plus l’alliance avec Elohim est de vigueur, plus les attaques de l’ennemi sont grandes. En effet, il n’a pas besoin de se battre pour ceux qui ne sont pas dans l’une ou l’autre Alliance de Yahuwah, puisque ceux-ci sont automatiquement en alliance avec lui, qu’ils le veuillent ou non.
Le but est simple. L’ennemi essaie de convaincre autant de personnes que possible qu’il vaut mieux éviter et mépriser tout ce qui appartient à Yahuwah, tout ce qui vient de Lui et ce, jusqu’au rejet de Yahuwah lui-même. Pour cela,
il calomnie le peuple juif et le christianisme afin d’en faire un sujet de dégout.
Puisque la plupart des Juifs ne sont toujours pas dans le Messie, et que la majorité des chrétiens ne sont pas nés de nouveaux en Lui, mais en sont les supporters sans lui appartenir à parts entières, en incitant à la haine les uns envers les autres, l’ennemi parvient à enraciner encore plus profondément chaque partie dans l’état de religiosité dans lesquelles elles se trouvent déjà.
La haine des chrétiens contre les juifs, les persécutions passées, la théologie de substitution et le culte d’une multitude d’idoles ne font que renforcer les juifs dans le déni du Messie. Et inversement, les excès talmudiques ne servent pas à rapprocher les chrétiens de leur racine originale.
Les juifs et les chrétiens religieux ne se rendent pas compte qu’ils doivent tous deux retourner à la source biblique originale, à la Parole, et abandonner tous les dépôts rabbiniques et chrétiens dénominationnels afin de redécouvrir la véritable essence de Yahushua.
Celle qui s’est installée en nous disciples à Jérusalem 50 jours suite à la résurrection de Yahushua à Shavuot.
Les outils du discrédit
Pour amener les nations à la haine du peuple juif, l’ennemi utilise la plus ancienne tactique du monde: le discrédit.
Il utilise la calomnie jusqu’à ce que la plupart des gens commencent à croire ce qu’il dit. Et il ne ment pas toujours sur toute la ligne, mais se fonde sur des vérités pour ensuite les dévier.
En effet, il utilise des gens qui sont des nôtres, des gens qui sont juifs de par leurs origines et manipule leurs vies pour les rendre haineux et surtout pour accuser toute la communauté d’être semblables à ces brebis galeuses. C’est ainsi qu’il jette le discrédit sur le peuple tout entier.
La psychologie humaine s’efforce fondamentalement de toujours tout simplifier d’une manière assez primitive. Si par exemple, de voyage en Afrique, je vois quelqu’un manger son voisin, de retour chez moi, j’aurais tendance à affirmer que les Africains sont tous des cannibales, que personne ne devrait se rendre là-bas, et qu’il serait peut-être même « plus sage » de se débarrasser d’eux avant qu’ils ne viennent nous manger également.
C’est ainsi que sont nés les inquisitions et les pogroms, jusqu’à la solution finale des nazis.
Nos « cannibales » juifs sont ceux qui ont abandonné leur foi et qui souvent, vont jusqu’à consciemment se soumettre à d’autres dominations spirituelles. Ici, je ne pense pas spécifiquement aux Juifs assimilés dans d’autres religions, mais à ceux qui, de manière consciente ou non, servent l’Antéchrist par leurs convictions politiques et idéologiques et dont certains sont même les membres de toutes sortes de confréries maçonniques.
Nous connaissons tous ces individus, ces familles, ces dynasties pleinement dévoués au service du mammon et qui ont bâti de véritables empires financiers dominant de plus en plus le monde.
Malheureusement, il ne s’agit pas de cas isolés. J’estime leur nombre à plusieurs milliers d’individus d’origine juive, mais dont la vie est jusqu’à présent entièrement consacrée à l’incitation antisémite et à la préparation de l’avènement de l’Antéchrist. Ce sont eux qui tournent un film hollywoodien sur cinq sur le thème de la Shoa, vivant ainsi du sang de nos martyrs comme des vampires tout en excitant la frustration des autres nations en générant de manière artificielle un sentiment collectif de culpabilité.
Nous avons des ancêtres communs par le sang, mais nous n’avons plus le même Père et Seigneur. Certains d’entre eux n’en ont jamais eu de toute façon. Les démons prennent souvent le contrôle d’individus juifs, les habitent ou parfois eux-mêmes sont simplement nés dans un corps juif et commettent des méfaits à travers eux et en notre nom commun, afin de générer de l’antisémitisme. (Un peu comme Fantomas avec ses masques).
Dans ce qui suit, nous examinerons quelques outils concrets utilisés par Satan pour discréditer le peuple juif. Certains sont des mensonges purs et simples, tandis que d’autres se basent malheureusement sur la réalité mais en sont le plus souvent déviés:
Meurtres rituels
Il s’agit d’une méthode bien connue et efficace pour générer de l’antisémitisme et surtout d’usage en Europe orientale jusqu’au XIXe siècle. Naturellement, même la loi talmudique la plus stupide n’a jamais appelé aucun Juif à assassiner une personne, surtout pas un enfant, pour faire de la nourriture avec son sang. Il est assez primitif de penser que les Juifs qui prennent l’interdiction de la consommation de sang très au sérieux vont aller assaisonner le pain sans levain avec du sang.
Cette accusation comme celle des juifs empoisonnant les puits afin de répandre la peste n’a aucun fondement et n’en a jamais eu.
Aberrations talmudiques
La littérature rabbinique est souvent accusée d’être raciste et discriminatoire. En effet, le Talmud est parsemé de genre de déclarations haineuses. L’hostilité millénaire et continue des Nations à l’égard des Juifs n’a pas vraiment contribué chez certains au développement d’un sentiment de sympathie et d’amour profond envers tous ces peuple hostiles. En outre, la littérature rabbinique interprète mal et donne de faux enseignements sur le concept de Peuple Élu. Comme dans beaucoup d’autres cas, ce sujet est également dégradé à un niveau humain. Ainsi, il n’est pas surprenant qu’un peuple ayant souffert tant de violence et de discrimination de la part de la majorité des autres nations, souffre d’un immense complexe d’infériorité et tente de compenser d’une manière ou d’une autre ses frustrations. La psychologie connaît et étudie depuis longtemps ce phénomène. Ceci n’est pas seulement vrai dans le cas d’individus, mais aussi des communautés, des groupes ethniques et des nations entières peuvent également en être affectés de manière collective.
Cependant, ceci n’est en aucun cas acceptable. Notre élection ne fait pas de nous des rois pouvant exercer un pouvoir sur les autres. Comme je l’ai déjà mentionné dans un autre de mes enseignements, nous avons été choisis pour servir. (Peuple élu?).
Tout comme Yahushua a assumé le rôle du plus petit, bien qu’étant le plus grand, lorsqu’il lava les pieds de ses disciples. Il le fit pour nous montrer l’exemple de l’humilité. Notre élection ne veut rien signifier de plus que le fait que nous soyons les premiers nés parmi les Nations. Comme dans toute famille qui se respecte, ce ne sont pas les plus jeunes qui servent les aînés, mais le contraire. Les aînés ont des responsabilités envers les plus jeunes. Les frères et sœurs aînés aident les parents à éduquer et à prendre soin des plus petits. Nous devons parfois nourrir, cuisiner, laver, soigner et instruire nos petits frères et sœurs. Ce que nous savons déjà doit leur être transmis immédiatement. C’est la seule manière de concevoir le concept de Peuple Élu. Toute autre interprétation contre-disant celle-ci doit être considérée comme anathème.
D’autre part, cela implique également que les plus jeunes doivent impérativement accepter et avoir du respect pour leurs aînés afin que ces derniers puissent exercer leurs fonctions correctement.
Les juifs traditionnels ont perdu ce rôle pour un certain temps. Nous ne pouvons donc pas les blâmer pour ne pas avoir fait leur devoir dans la période entre le rejet du Messie et sa reconnaissance à la fin des temps. Mais ceci n’est en aucun cas une excuse pour leur péché d’avoir mal interprété leur élection et d’alimenter ainsi la colère des autres, en un mot, l’antisémitisme.
L’ennemi a également infiltré dans la littérature rabbinique, l’outil de diffamation par excellence : la pédophilie. Les « rabbins » ont beau s’expliquer sur le sujet en cherchant toutes sortes d’excuses et donnant toutes sortes d’interprétations différentes, la chose est écrite noir sur blanc. En effet, le talmud fait des déclarations pédophiles claires, telles que la façon et les circonstances dans lesquelles la chose est envisageable. Pour les juifs, il s’agit d’une tache très embarrassante que certains essaient de réinterpréter, d’autres nient, la plupart se taisent sur le sujet ou dans le pire des cas vont même jusqu’à l’accepter et l’enseigner.
Que cette aberration extrême que renferme le talmud soit un signal d’alarme pour tous les Juifs qui y croient encore, dévoilant à quel point la littérature rabbinique est fausse et à quel point le zohar, la michna, la guemarra et le talmud sont éloignés de la Torah.
Théorie du complot mondial
Qui n’est en effet pas une théorie, mais une réalité de plus en plus évidente. Comme je l’ai mentionné plus haut, l’ennemi utilise également un grand nombre de membres de notre peuple pour mener à bien son plan diabolique. Cependant, leur nombre est encore négligeable par rapport au nombre total de personnes impliquées dans cette conspiration. On y trouve en effet bien plus de gens qui ont été baptisés que circoncis. Malgré cela, ce sont bizarrement toujours les juifs que l’on voit en devanture lorsque le sujet est abordé et que les crimes et les aspirations sont mises en examen. Tout porterait effectivement à croire que ce sont les juifs qui tirent les ficelles et que ce sont eux qui sont installés au sommet de la hiérarchie.
Nous sommes en effet un peuple doté de connaissances précieuses et d’une expérience de vie et de survie de plus de 3500 ans.
Notre instinct de survie est si développé que nous sommes pratiquement tous capables de servir n’importe quelle cause de manière très efficace, qu’elle soit bonne ou mauvaise, qu’il s’agisse du service de Yahuwah, ou même de l’Antéchrist. Le problème ici aussi, est la généralisation. Les quelques pommes pourries attirent la haine sur tout le tas. Comme dans le cas du pamphlet célèbre « Le protocole des sages de Sion » qui a manifestement été rédigé par des cosaques et non par des juifs, le livre ayant été écrit dans un style, un esprit et une épaisseur (quelques pages seulement) qui sont très étrangères à la mentalité juive, le document sert clairement à convaincre les peuples que toute la communauté juive lutte pour la domination du monde.
Comme si les multitudes d’empires et pouvoirs non-juifs qui se sont succédés durant l’histoire (Babyloniens, Perses, Medes, Egyptiens, Grecs, Romains, l’Église Catholique, les Mongols, Les Tatars, Napoléon, etc.) n’avaient jamais eu comme dessin de posséder le globe et d’asservir voir même exterminer les peuples.
Discréditation du Corps du Messie (la chrétienté)
La dégradation du concept du christianisme, dans le sens positif du terme, vers le christianisme dans son sens négatif, perdure de la même manière depuis près de 2000 ans.
Ici aussi, la pédophilie est l’un des moyens de diffamation les plus utilisés de nos jours. Tout le monde connaît les nombreux scandales provoqués par les perversions de prêtres idolâtres appelés chrétiens.
Le problème, cependant, va au-delà du simple préjudice causé à la réputation de leur propre église, puisque l’église romaine a été essentiellement créée par l’ennemi dans le but d’affaiblir et de s’emparer de la véritable Église: le Corps du Messie. Le problème est que les externes, y compris les juifs, ne font aucune distinction entre les chrétiens. En entendant ce genre de nouvelles scandaleuses, les juifs, les musulmans ou toute autre personne ne ressentiront pas le besoin de rejoindre une communauté chrétienne et d’entendre parler du Sauveur et de l’Évangile.
Nous devons savoir qu’aux yeux des juifs et des autres groupes non chrétiens, le catholicisme et toutes les autres confessions chrétiennes ne font qu’un. Ils ne font pas la distinction entre les mouvements, les églises, les courants, qu’il y ait eu une réforme depuis ou non (tout comme la plupart d’entre nous ne faisons pas forcément la distinction entre l’islam sunnite et chiite ni entre les orthodoxies Szatmár et Lithuaniennes par exemple). Ainsi, l’autorité de l’Église elle-même, le Corps du Messie, est touchée de plein fouet lorsque quiconque commet un péché tout en se prétendant être du Messie.
Mais nul besoin de lister les autres outils de l’ennemi, tous les péchés et leur souvenir qui sont les plus fréquemment utilisés: théologie de substitution, Inquisition, croisades, pogroms, Holocauste, etc.…, qui ne favorisent pas vraiment la conversion des Juifs au Messie.
Mais un autre type d’attentat spirituel contre le Corps du Messie se déroule également et de manière constante, lorsque les différentes dénominations chrétiennes protestantes ne sont pas en relation fraternelle mais en guerre les unes contre les autres. Lorsqu’une nouvelle église nait chaque nouvelle lune avec de nouveaux dogmes au lieu de voir les communautés se réformer de jour en jour en unité et sous la seule conduite de l’Esprit Saint. Comment imaginer qu’en voyant un tel chaos, un quelconque catholique
puisse avoir envie de s’engager sur la voie de la réforme alors que tout ce que l’on voit chez les protestants à la surface n’est que faction et querelles ?
Il est naturel que la plupart d’entre-eux choisissent de demeurer dans leur église idolâtre où au moins un semblant de paix et d’unité leur est assuré. Pendant ce temps, les protestants se battent jusqu’à ce que suffocants et épuisés par des siècles de combat spirituel, ils ne finissent par se réfugier sous les ailes protectrices de l’œcuménisme qui leur est tendue par l’église romaine. C’est ainsi que Satan détruit ce que la Réforme a jamais pu donner au monde.
Selon moi, ce dernier processus est le pire outil anti-chrétien depuis le début de la Réforme.
Existe-t-il une quelconque forme légitime de l’antisémitisme ?
Naturellement oui. Sur la base des faits décrits ci-dessus, la question ne se pose plus. Il existe en effet de « bons antisémites ». Ou, plus plutôt,
il n’y a pas de bon antisémitisme, mais l’antisémitisme peut provenir d’une bonne source et peut avoir des conséquences positives.
Mais cela n’est vrai que du point de vue de la victime, c’est-à-dire du juif. Celui d’où provient de toute forme d’antisémitisme se met dans tous les cas sous la malédiction.
Pour nous, juifs, l’antisémitisme n’est rien de moins qu’une promesse biblique !
En effet, dans la Torah, nous avons reçu la promesse par Moïse que dès que nous nous éloignerons de la volonté et de la loi d’Elohim, nous serons persécutés par des nations étrangères. Il s’agit ici de ces fameuses malédictions et maladies qui ont été proclamées sur le mont Ebal. Bien sûr, ceci n’est pas une excuse pour celui dont émane l’antisémitisme. Mais il y a beaucoup d’antisémites qui n’oseraient pas nous nuire si nous étions en règles avec Yahuwah, et ne souffrent pas de cette haine viscérale, instinctive et meurtrière dont beaucoup d’autres souffrent. Leur haine vient de l’extérieur, elle se dépose sur eux comme des alluvions et augmente en eux lorsque par exemple ils posent les regards sur nous.
Quand cela arrive-t-il ?
Lorsque par exemple une personne cherche la Vérité selon les lois d’Elohim qui lui sont gravées dans le cœur, cette même Vérité qui nous a été confiée à travers Moïse. Cependant, quand il nous trouve, il voit que
nous ne portons pas seulement la Torah, mais un tas d’autres lois humaines,
qui sont souvent si insensées et viles que les attribuer à Elohim est un blasphème en soi.
Lorsque nous enseignons la Torah certes, mais aux travers de la loupe de nos talmuds. Cela irrite tout individu non juif qui recherche la Vérité et la connaissance de Yahuwah. Ainsi, la sympathie qu’ils éprouvent envers nous en est fortement amoindrie.
Il y a aussi le cas, encore pire,
lorsque nous ne portons même plus la Torah avec nous et alors la question est, pourquoi existons-nous tout bonnement ?
Car en effet, c’est le fait qu’IL nous ait confié la Torah qui fait de nous des juifs.
Mais le pire des cas est lorsque, non seulement nous quittons la Torah, mais la rejetons, l’humilions et la piétinons
en prêchant des doctrines opposées.
Celles-ci incluent des idéologies comme la démocratie, le socialisme ou le capitalisme, la propagande de toutes les formes de libertinage (drogues, aberrations sexuelles), etc. et toutes sortes d’absurdités qui s’opposent à la volonté de Yahuwah. C’est aussi le cas lorsque le samedi, au lieu d’aller à la synagogue, certains parmi nous sortent, participent voir même organisent des gay prides exhibant des homo- et transsexuels en tous genres sous les yeux ébahis des goyims alors que ces derniers ne voulaient faire qu’une bonne promenade dans les rues ensoleillées du centre ville en famille avec les enfants et non être les témoins de ce genre de spectacle. Il me semble dès lors fort naturel que certaines critiques à l’encontre de notre peuple se formulent alors dans leur esprit, et ils font bien !
Les gens commencent à nous mépriser lorsque le juif qui n’est pas forcément ouvertement et consciemment franc-maçon, mais accepte et promulgue tout de même ses idéaux comme des marionnettes. Car suite au traumatisme de l’Holocauste, beaucoup militent aveuglément pour une égalité et une tolérance excessive et tombent sans s’en rendre compte dans l’erreur et le rejet de nos préceptes ancestraux.
Je connais moi-même un (grand) « rabbin » qui, durant les Shabbat à la synagogue, lit joyeusement en hébreu dans la Torah la façon dont les hommes couchant entre-eux devraient être lapidés à mort, puis du dimanche au vendredi, il ne cesse de publier des articles sur les réseaux sociaux soutenant l’homosexualité. Quelle intégrité !
Pendant ce temps, l’ennemi exulte de joie,
car tu accomplis l’Holocauste et la solution finale en toi-même
et de la manière la plus efficace, au niveau de l’esprit.
Hitler, lui n’a réussi à détruire tes ancêtres que dans leur chair !
Et il y a même le cas où l’on défend aveuglément certaines minorités et leurs droits sans attendre d’elles aucun sens de responsabilité en retour. Nous le faisons lotis dans nos bons petits quartiers juifs sûrs et dépourvu de ces minorités, en appelant fasciste toute personne de la majorité qui ose critiquer ou se plaindre de ces groupes ethniques. Mais ces gens sont pourtant des victimes et vivent souvent l’enfer dans leurs quartiers devenus invivables. Cette majorité souvent devenue minoritaire dans son entourage immédiat n’est plus protégée ni par la police ni par les politique ni par la justice. Tu n’as aucune idée de ce que c’est de vivre parmi des gens pareils, mais tu te permets de juger ceux qui les maudissent car n’ayant pas les moyens financiers pour se délivrer de leurs ghettos et devant supporter leurs menaces et harcèlements incessants. Tu défends le crime et la fainéantise, le parasitisme de certains et tu t’étonnes que ceux qui en souffrent le plus, la majorité ne sympathise pas avec toi en retour ? Tu défends aveuglément des gens dans les quartiers desquels tu évites de mettre les pieds toi-même. Et puis
tu t’étonnes que ceux que tu accuses d’être des fascistes finissent par le devenir réellement et que tu sois le premier sur lequel ils vont cracher dessus ?
On s’étonne que ces gens abusés finissent par brancher leur clôtures sur du 220V, qu’ils créent des milices d’auto-défense pour se sentir plus en sécurité ? N’est-ce pas notre responsabilité quelque part ? Et qui parle du fait que, ce faisant, ce sont les membres émergeants de ces minorités problématiques qui sont les plus grands perdants dans cette histoire ?Ceux dont la réputation continue à se ternir bien qu’ils fassent des efforts considérables pour se faire accepter et devenir des membres dignes de la société ?
Si nous examinons vraiment ces questions en profondeur et avec lucidité, nous devrons nous rendre à l’évidence qu’il existe réellement une forme d’antisémitisme légitime dont nous seuls, juifs, ou plutôt certains d’entre-nous, sont entièrement responsables. Ceux d’entre-nous par contre qui ne le font pas, mais se taisent et ne tente pas de résonner les autres, sont naturellement complices, tièdes et hypocrites.
Mais comme je l’ai mentionné, ce genre d’antisémitisme est aussi un espoir, un signal d’alerte, afin de résonner le juif pour qu’il revienne à sa racine initiale et qu’il se détourne de ses étourdissements mondains. Cet antisémitisme, est comme lorsque le médecin nous annonce une mauvaise nouvelle concernant notre état de santé. Il ne fait pas bon l’entendre, mais sans ce diagnostique, le processus de guérison ne pourrait même pas démarrer. Nous avons reçu cette promesse par l’intermédiaire de Moïse. Il est temps de reconnaître et de traiter le sujet sans aucune hypocrisie. Nous devons enfin assumer nos responsabilités au lieu de nous cacher derrière l’accusation antisémite.
Cependant, ce genre d’antisémitisme « bénéfique » n’est bon que pour le juif. La volonté suprême de Satan est de te faire haïr tout ce qui appartient à Yahuwah. Et ne penses pas que toute perversion venant des Juifs t’autorise à les haïr, même si la haine est une conséquence naturelle de leurs péchés.
Yahushua dit à ses disciples: Il est impossible qu’il n’arrive pas des scandales; mais malheur à celui par qui ils arrivent!
Luc 17:1
Ceci vaut dans ce cas également.
Ne tombe ni dans le piège de la haine ni dans celui de la tolérance. Car la haine te met automatiquement sous la malédiction, peu importe qui tu détestes. Mais dans le cas d’individus choisis par Yahuwah, cela peut être encore pire. Il est nécessaire de faire la distinction entre le péché et le pécheur, entre le mal et l’humain que ce mal habite. Nous devons implorer Yahuwah
qu’il nous apprenne à aimer le pécheur sans renoncer à la haine du péché.
C’est une chose très difficile, seul Ruach HaKodesh, l’Esprit Saint peut opérer cela en nous.
Antisémitisme viscéral
En revanche, il existe cette catégorie de haine que j’appellerais l’antisémitisme viscéral. Quand il importe peu que le Juifs fasse ce qu’il doit faire ou non, que sa relation avec Elohim soit en ordre ou pas, et même s’il s’agit d’un juif ayant accepté Yahushua en tant que Messie, il voudra toujours notre perte ! Il y a une sorte de haine qui est ultime et illimitée et dont les racines sont démoniaques.
Il y a des gens possédés par des démons, mais il y a aussi des démons qui possèdent des corps humains car envoyés en mission sur terre pour naître de femmes de manière physique.
Seules la prière et la main de Yahuwah peuvent nous protéger contre ceux-ci. Telle était la racine de tout événement historique qui avait pour but de blesser et de détruire le peuple juif depuis Esaü, en passant par Haman, les cosaques; les nazis et jusqu’à ce jour avec le hamas et ses camarades pour finalement aboutir à Armageddon et plus tard à Gog et Magog.
L’élection du peuple juif est étayée par des preuves massives.
Pas uniquement au travers des récits et déclarations de l’Ancien Testament, mais aussi, car même le Sauveur était des nôtres et qu’en dépit de notre petit nombre et de nos difficultés historiques, nous sommes toujours en vie.
Suite au rejet du Messie, une grande partie de notre peuple a été mis en quarantaine et non rejeté.
Le sang du Messie était et sera sur nous, comme nos ancêtres l’ont alors déclaré devant Pilate, jusqu’à ce que nous acceptions individuellement ce sang pour la rémission de nos péchés.
Qu’est-ce qui empêche encore quiconque de reconnaître que notre survie à ce jour est un miracle, un fait complètement irrationnel. Cécité ou cupidité, ou bien ces sentiments viscéraux mentionnés plus haut ? Le Messie seul est capable de te guérir de ces maladies, comme il est celui qui peut libérer les juifs du judaïsme rabbinique et de toute autre sorte de perversion.
Ils ont essayé de nous exterminer, de nous détruire, de nous expulser presque tous les 50 ans depuis 3500 ans, mais nous sommes toujours là.
Nous sommes l’un des plus petits peuples au monde. Il est historiquement et sociologiquement impossible pour une telle nation de survivre aussi longtemps même s’il n’y avait eu aucune persécution. Il n’y a qu’une seule civilisation en dehors de la nôtre qui soit aussi ancienne : la Chine. Ils sont l’autre extrême et le gage de leur survie est précisément leur nombre incommensurable.
Seule la main du Tout-Puissant est capable de faire survivre un peuple comme le nôtre sous une si grande pression et pendant si longtemps.
Que celui qui est incapable d’entrevoir tout cela, demande la vision et la délivrance du Messie.
Car dans le Royaume des Cieux, les antisémites n’auront pas non plus leurs places,
même s’ils avaient de très bonnes raisons de l’être.
Philosémitisme
Comme j’y ai fait allusion dans le texte précédemment, toute prise de position aveugle et humaniste est une forme d’extrémisme qui ne fait que générer et alimenter l’antisémitisme et la haine en général.
Le philosémitisme, la défense du juif à tout prix est une source de haine et se transforme même parfois en assassin de l’identité juive ne trouvant aucune autre solution au combat contre la haine que de vouloir supprimer toute forme d’identité, de communautarisme et transformer tous les êtres humains en individus citoyens du monde.
La plupart des philosémites nient l’existence de la nation juive, considérant cela comme une invention de l’histoire liée, selon eux, à de primitives traditions religieuses.
Beaucoup de défenseurs des juifs (parmi lesquels beaucoup de juifs eux-mêmes) sont donc parfois pires que les antisémites, car ceux-ci au moins ne nie pas la présence et la l’existence du peuple Juif. Les philosémites de leur côté, s’efforcent de supprimer l’antisémitisme par la suppression du sémitisme lui-même ce qui est un acte antisémite majeur et ultime.
Quand va-t-on enfin cesser de mettre tous les juifs dans le même panier, même du côté philosémite et antiracistes ? Tant qu’on ne fera pas la part entre les juifs qui le sont pour de bons et ne nuisent à personne de ceux qui sont sortis de nos rangs pour endosser d’autres idéologies, servir d’autres dieux, des idoles comme l’argent, voir même dans certains cas Lucifer en personne. Si nous ne nous distinguons pas les pommes pourries des pommes mûres, comment pouvons-nous attendre des antisémites qu’ils en fassent la distinction eux-mêmes ?
Car les antisémites ont des accusations qui sont légitimes dans le cas de certains juifs comme les grands banquiers les autres magnats des finances, mais par le biais de ces derniers, ils accusent l’intégralité de la communauté juive. De l’autre côté, les défenseurs des juifs et les juifs eux-mêmes défendent l’intégralité de la communauté juive y compris ceux envers qui les accusations de manipulation des masses sont légitimes.
À force de trop vouloir défendre, faire abstraction des pommes pourries qui sont parmi nous, ne nous étonnons pas d’un côté que l’on fasse l’amalgame avec les pommes pourries, et de l’autre, qu’au bout d’un certain temps on finisse par le devenir également. À force de les défendre, on finit de manière inconsciente par endosser leurs idées et servir les mêmes idoles.
Antisionisme
La version la plus moderne et la plus à la mode de l’antisémitisme est l’antisionisme. Il s’agit d’un mutant assez intéressant des versions précédentes car il infecte à une échelle plus large, n’atteignant pas uniquement certaines tranches d’âge, mais toutes les générations et les personnes ayant les idéaux politiques et les visions du monde les plus diverses. Cette variante peut également toucher les humanistes, les libéraux de gauche ainsi que les juifs eux-mêmes. Bref, tous ceux qui n’étaient pas enclins à l’antisémitisme classique. La cause est ce même humanisme décrit plus haut qui en pousse beaucoup à défendre des groupes de criminels de manière aveugle sous prétexte qu’ils aient l’air faibles et en désarroi. Voir mon enseignement : État d’Israël et Sionisme, qui est une sorte de suite de celui-ci.